PRINCE DE BEL AIR

Lorsque que j'étais en route pour les écuries, j'eu une soudaine idée, celle d'aller monter le cheval qu'on m'avait confié mais sur la piste de galop pour bien de le défouler. J'étais entrain de continuer à penser à mon idée et aussi à penser qui on m'avait confié. Je me pressais donc vers le tableau des montes et découvris que c'est Lou que j'avais à monter. Je me pressais donc vite dans l'allée 1 pour vite aller préparer le poney pour qu'on aille profiter du beau temps. Il fesait chaud mais il avait du vent qui rafrechissait, pourtant je ne devrais pas faire galoper Lou trop longtemps pour pas qu'il soit trempé. Mais s'il aurait trop transpirer je l'aurais emener à la douche. Donc j'arrivais devant le box de l'hongre.

- Salut toi!

C'était un beau poney, avec sa robe qui tire un peu sur le bai comme Baby, à part que elle avait un brun beaucoup plus foncé que celui de Lou. Lui sa robe virait aussi au rouan, une robe que j'appréciais vraiment. Pourquoi ? Je n'en sais rien, peut être à cause du mélange de couleur, je ne sais pas.Mes affaires en main, je m'arrêtais donc devant le box, les déposais et gardait juste le licol pour pouvoir l'attaher et le préparer pour qu'on aille tous les deux se défouler. J'entrais donc lentement dans le box, lui enfilais le licol et le fis sortir et l'attachai. Je passais vite fait ma main le long de son dos pour aller chercher mes affaires qui étaient en face de nous. Je les rapprochais de l'hongre et ouvris ma boîte de pansage. J'en sortis mon étrille et le brossais énergiquement. Bah oui, aujourd'hui j'étais énergique, motivée. Une bonne journée s'annoncait.

- On va aller s'amuser mon beau!

Je le frottais donc sur pratiquement tout son corps, pour le décrasser car monsieur avec de la paille collée sur sa jolie robe, et un peu de boue sur son dos. Il avait dut se rouler dans son box et dans le paddock. Une fois l'étrille passée, je pris ma brosse dure et le frottait toujours de la même façon en enlevant la poussière, enfin ce que je put enlever. Une fois passée, je pris ma brosse douce, lui frottais doucement la tête.

-Et! Tu dors toi ?

Je rigolais, le poney ne bougeait plus le yeux commençaient à se fermer doucement. Je ne voulais pas qu'il s'en dorme moi car je voulais un cheval aussi motivé que moi aujourd'hui.
Je continuais tout de même en chantant, pour le reveiller en douceur, ne voulant pas le brusquer mais pas le laisser s'en dormir completement. En regardant le poney, je riais toute seule, car il était aussi détendu que pour s'en dormir. Mais une fois qu'il entendu que je me mis à chanter, ses oreilles se redressaient et ses yeux se r'ouvriaient. Je finis donc de le panser avec la brosse douce et m'emparrais du cure-pieds. Je voulus demander le pied au poney, mais celui refusai de le lever, il s'appuyait de tout son poids sur le pied, essayant même de me mordre. Je criais un coup en levant la main, sans le toucher. L'hongre sursauta et se calma. Mais refusait tout de même de me donner son pied. Je fis donc comme lui et m'appuais contre lui. Il dut ceder, mais il essayait de le remettre à terre. Je m'enervais une nouvelle fois.

-Tu va arrêter oui?!

Je fis comme avant, et il sursauta une nouvelle fois, pensant surement que j'allais le tapper où je ne sais pas. Mais après cela, il me laissait curer ses pieds sans plus bouger. Et oui je lu ifesait peur à ce petit poney. Une fois fait, je voulu prendre mon peigne avec mon démélant, et il se mis à gratter avec son antérieur gauche. L'hongre s'impatientait, mais il devais attendre tout de même. Je démalais donc le plus vite que je pouvais ses crins. Et terminé, je rengai tout dans ma boîte. Je pris ensuite mon tapis et lui plaçais sur son dos, avec par dessus l'amortisseur. Une fois cela placé, je mis la selle au dessus, et mis la sangle. Je sanglais pas trop, j'allais le resangler quand nous allions arriver à la piste de galop. Une fois la selle mise, je pris le filet. Je lui mis le licol autour de l'encolure, passant les rêns au dessus des oreilles. Je pris ensuite en main le mors e tlui mis devant le bouche espérant qu'il auait ouvert, mais non. Je mis dans mon doigt dans sa bouche et il ouvrit je lui mis donc le mors en bouche et is la têtière derrière les oreilles. Je fermais ensuite toutes les boucles. Une fois tout cela fait, je pris ma bombe et mes gants et partis en direction de la piste avec un hongre assez excité de sortir.

- Aller c'est parti.

Un nouveau départ. Voilà ce que voulait prendre Chad en arrivant à Seventh Heaven. Il était persuadé que ce changement d'endroit, de chevaux, de personnes lui procurerait un nouveau souffle. Il avait besoin de prendre l'air et de s'éloigner de son pays mais surtout de ses parents. Il n'était pas en froid avec eux, non au contraire, mais ils étaient trop sur lui. Il ne volait pas encore de ses propres ailes et cette aventure serait un moyen de leurs prouver le contraire, enfin d'après Chad. Mais ces terres inconnues l'effrayait tout de même un peu. Il avait des doutes, notamment sur la constitution des écuries. Le haras était-il centré sur une seule race ou y avait-il un choix plus large de montures? Le brun avait lut le dépliant complet et savait comment se déroulait la distribution des chevaux. Il savait aussi qu'il allait devoir repasser ses galops mais cela ne le dérangeait pas. Ça serait plus une remise à niveau, ça ne pouvait lui faire que du bien! Cela faisait plusieurs heures qu'il roulait à l'arrière de la voiture noire de son père. Ce dernier lui avait mit à disposition un chauffeur de manière à ce qu'il puisse être en forme pour son arrivée. Chad, perdu entre deux rêves, se réveillait de temps à autre pour voir la progression de son voyage. Mais il se rendormait presque aussitôt.

Le jeune homme sentit la voiture s'arrêter soudainement. Il tenta de mettre à neuf sa vue brouillée par le sommeil et demanda à son chauffeur. « On est où là? » On aurait dit un enfant totalement perdu. Il regarda alors par la fenêtre et put remarquer qu'en fin de compte ils ne s'étaient pas arrêter, ils avaient simplement ralentit l'allure car ils pénétraient dans le domaine de Seventh Heaven. Ils passèrent l'arche d'entrée et longèrent les paddocks. Le chauffeur arrêta l'automobile devant le grand bâtiment blanc prévu pour l'accueil et sortit le premier de la voiture. Chad étant un homme, il sortit sans qu'on ne lui tienne la porte, c'était une question de principes. Son chauffeur sortit ses bagages du coffre et, le jeune homme étant bien élevé, l'aida. Lorsqu'ils eut terminé, l'anglais remercia l'homme en costume noir et lui laissa un pourboire en plus de la course. Il devait à présent rentrer en Angleterre afin d'y retrouver la famille qui l'employait. Il salua Chad d'un coup de tête, le brun fit de même, et le chauffeur prit la route du retour. « Le pauvre, il a pas finit! A ce rythme il n'aura pas son ferry ». Mais ce n'était pas le soucis du jeune homme qui attrapa ses valises et pénétra dans le hall de l'accueil. Il rejoignit la directrice qui, après lui avoir expliquer les premières formalités, lui fit faire un petit tour du domaine. C'était fort sympathique de sa part. Chad put poser ses valises dans un coin privé de manière à les récupérer seulement le soir, lorsqu'il aurait finit de s'occuper au domaine. Lorsqu'elle eut fini sa visite, Eva donna la possibilité au brun de faire ce qui lui plaisait dans la limite du raisonnable et lui donna également le nom de sa première monture qu'il pouvait, s'il le souhaitait, aller voir et sortir de suite.

En zonant dans le domaine, il chercha à se rendre aux écuries, mais avec bien du mal. Il avait, habituellement, une bonne mémoire mais là, impossible de retrouver où se trouvait les chevaux. Il demanda alors à une personne non loin de lui. « Excusez-moi, vous pourriez m'indiquer les écuries s'il vous plaît? » Il semblait un peu gêné par cette demande puisqu'il se trouvait dans un haras, généralement on savait où se trouvait les équidés avant même d'arriver au domaine! Mais la jeune femme lui répondit gentiment: « Bien sur! Alors il vous suffit juste de rejoindre ce bâtiment en U là bas, c'est ici que se trouve les chevaux! » Bien aimable cette fille, Chad la remercia poliment et se hâta de prendre la direction indiquée par la blonde. En effet, elle ne s'était pas trompée, c'était bien là. Elle faisait sûrement partie des élèves. Dans tout les cas, le brun était ravi d'être arrivé à bon port. Maintenant, il lui fallait trouver le cheval qu'on lui avait confié. Cela ne fut pas difficile car les chevaux étaient classés par ordre alphabétique dans leurs box. Prince de Bel Air serait donc vers la fin. L'anglais ne s'était pas trompé dans sa déduction. Il trouva le cheval blanc entre un cheval tacheté et un plus petit que lui. « Bonjour Prince ». Cette première approche fut un peu spéciale car c'était sa toute première monture au haras. Il s'approcha donc en tendant sa main et effleura les naseaux du blanc qui semblait habitué aux nouvelles rencontres. « J'crois bien que c'est moi que t'auras cette fin de semaine ». Dit-il en caressant le chanfrein de l'hongre. Il resta ainsi de longues minutes afin de commencer une relation de confiance. Pour ce premier contact, Chad décida de lui faire des petits soins avant de repartir. Il ne voulait pas rester sans rien faire aujourd'hui alors il se hâta à la sellerie, son matériel étant arrivé, il prit donc sa mallette ainsi qu'un licol avant de revenir vers le blanc, l'encolure toujours dehors. « J'te fais tout beau pis après faudra que j'y aille, de toute façon j'reviendrais bientôt, faut que j'te sortes sur un terrain de cross toi! ». Alala les terrains de cross, la discipline de prédilection de l'anglais! Il avait une assurance et une rage terrible sur l'herbe et cela se ressentait dans ses performances. Bien sur, il n'en oubliait pas qu'il était à cheval et donc que sa monture aussi faisait parti de l'équipe. Il entra donc dans le box de l'hongre et lui mit son licol avant de le sortir dans l'allée et de l'attacher à sa porte. Il flatta l'encolure épaisse du cheval et commença un pansage avec l'étrille. Un coup de bouchon par la suite suivi d'un rapide passage à la brosse douce et il termina son pansage par curer les quatre pieds du blanc, qui n'avait pas bougé. Malgré le bon caractère visible de l'équidé, Chad ne semblait pas accroché avec lui. Mais il ne pouvait pas savoir ce que valait véritablement ce cheval sans être aller sur parcours de cross! Il termina son brossage par peigner les crins de sa nouvelle monture et lui donna un morceau de carotte. Il flatta son encolure et le rentra au box, il était pour le brun de partir s'installer. Il lâcha donc l'hongre dans son box, caressa une dernière fois les naseaux du blanc et parti ranger ses affaires avant de quitter le bâtiment.

La nuit avait été longue pour Chad. Il avait dormi dans un motel pas loin du centre ville puisqu'il n'avait pas eu le temps de se trouver un endroit où loger. C'est donc après un réveil difficile que le jeune homme se hâta prendre une douche froide afin de bien se réveiller. Une dizaine de minutes lui suffit avant qu'il ne sorte et s'habille d'un jean et d'une chemise bleue pâle. Il prit les affaires dont il avait besoin pour se rendre au haras et sortit dehors en refermant bien la porte de sa chambre. Il lui fallait maintenant trouver un taxi car ça aussi il n'avait pas put prévoir à l'avance: une voiture! En descendant les escaliers de l'hôtel où il avait réservé une chambre, il croisa deux trois filles extrêmement bizarre et très peu habillées. Ce qui le dégouta d'avantage et augmenta la vitesse à laquelle il quittait les lieux. Il s'arrêta alors au bord de la route pour trouver un taxi et monta dans le premier qui vint auprès de lui. Il lui fallut un bon quart d'heure de route avant de descendre au domaine. Après avoir payé le chauffeur, il rejoignit rapidement l'accueil afin d'y trouver un endroit où se changer.

Tout prêt pour monter à cheval, Chad se précipita aux écuries afin d'y retrouver Prince. Il avait fait connaissance avec lui la veille mais aujourd'hui c'était le jour de sortie. Il avait d'ailleurs hâte de voir ce que valait le cheval blanc sur le plat! L'anglais put rencontrer deux trois cavalières qui sortaient, elles aussi, monter leurs chevaux. Mais pas le temps de s'attarder, il devait travailler Prince et aller régler ses problèmes de logement et de transport. Il connaissait le box du blanc qu'il retrouva l'encolure dehors, le regard fixé sur le jeune homme dont les pas se faisant entendre dans les allées. << Comment qu'c'est garçon? >> Demanda Chad d'un ton très familier en caressant le chanfrein de l'holstein. << Je vais commencer doucement, j'vais quand même pas te mettre de suite sur un terrain de cross, j'vais juste te faire bosser un peu sur le plat >>. L'anglais détacha alors le licol de la porte du box de Prince puis entra le rejoindre. Il lui mit donc son licol et le sortit dans l'allée où il l'attacha à l'anneau prévu pour. Il flatta l'épaule du blanc avant de partir chercher sa caisse. Il commença le pansage de sa monture en débutant par l'étrille. Prince n'était même plus blanc, il était marron. C'est à se demander où était-il aller? Enfin, maintenant, il fallait lui faire un brin de toilette. Après l'étrille, Chad enchaîna par le bouchon, qu'il passa énergiquement, notamment le long des membres, avant qu'il ne termine le cycle des brosses par celle aux poils doux. Il peigna les crins du blanc, cura ses quatre sabots avant de tout remettre dans sa boîte. << Je pense que t'es mieux comme ça! >> Dit-il en flattant l'encolure, à présent d'une jolie couleur, de l'hongre. Il recula un peu sa caisse avant de partir chercher de quoi harnacher le blanc. Il posa sur le porte-selle, un tapis bordeaux, sa selle, son filet ainsi qu'une paire de bandes de travail assorties au tapis. Il ne voulait pas trop lui en mettre sur le dos puisque c'était une petite séance de mise en selle. Il commença donc par lui installer le tapis, puis la selle et ajusta et dégarotta le tout. Il sangla de quelque trous seulement avant de lui mettre les bandes de travail en faisant attention à ce qu'il n'y ai aucuns trous. Il lui mit ensuite son filet avant d'aller mettre sa bombe ainsi que ses gants. Il montait toujours avec des gants, et ce par tout les temps. << Je pense qu'on est prêt. On y va pépère? >> Dit l'anglais en prenant les rênes. Ils prirent ensuite la route du manège.

De retour de la séance, Le couple revinrent aux écuries où ils retrouvèrent le box du blanc. Chad était plutôt content de cette séance mais pas aussi emballé qu'il l'aurait souhaité. Il délivra sa monture se l'emprise de son filet afin de lui remettre son licol et le laissa se gratter le chanfrein à sa guise conte son bras. << Tu l'as mérité va! >> Lorsque l'hongre eut terminé sa petite séance de grattouilles, le jeune homme put lui retirer ses bandes et ses équipements dorsaux et recommencer son pansage. Il vérifia également la tenue de ses fers avant d'aller rapidement remettre ses affaires dans les casiers de la sellerie. Il revint ensuite rentrer l'holstein et passa un coup de balai dans l'allée. << Aller, repose-toi bien mon grand! >> Le brun quitta les écuries et se hâta reprendre un taxi pour le centre ville.

J’arrivai pour la seconde fois, aux Ecuries du Septième Ciel, déposée par un taxi, où la conductrice du véhicule ne faisait que bavarder, alors que moi j'étais à peine réveillée par la nuit que je venais de subir. C'était un mauvais hôtel. Malchance: il ne restait que cet hôtel pour la nuit. On entendait les bruits des chambres voisines, les bruits des véhicules et des klaxons, enfin plein de choses qui vous empêchent de dormir. J'ai juste réussie à m'endormir à 6 heures du matin, alors que je devais me lever à 8h00 pour aller monter à cheval. Certes j'étais fatiguée, mais pressée de savoir quel cheval j'allais monter aujourd'hui. Après voir donnée un billet à la conductrice, je me précipita vers le tableau des montes. Je chercha mon nom, puis me trouva. Je regarda à côté puis vit écris: Prince De Bel Air: Allée 1.
Je me dirigea vers le bureau de la directrice pour lui informer que je le montais, puis après avoir indiquée que j'étais la, je me laissa guider par les magnifiques allées de chevaux qui se dressaient devant moi. J’arriva vers un box où un cheval blanc attendait sûrement que quelqu'un vienne le monter. Je regarda le nom qui y figurait et je vit écrit: Prince De Bel Air. Le cheval que j'allais monter!!!!! Je me dirigea vers son box, ouvrit délicatement la porte du box et entra. Je lui dit: " Coucou mon beau aujourd'hui c'est moi qui vais te monter ! " Prince m'attendait joyeusement. Je l'attacha, partit chercher mes brosses et quand je revenna, le cheval m'attendait toujours sagement. Je prit l'étrille, et commença à faire des petits ronds circulaires sur son corps. Le cheval appréçiait, il fermait les yeux. cela devait le détendre ou l'appaiser. je changea ensuite de brosse, prit le bouchon et pansa le cheval sur tout le corps. Ainsi le reste du temps quand je le pansa avec la brosse douce, Prince continuait toujours de fermer les yeux. Quand j'eus finie avec les brosses, je prit le cure-pied, mais le cheval hennit un coup l'air de dire: Encore s'il te plait, brosse moi encore!
Je lui dit : " C'est fini les brosses mon beau, maitenant donne moi ton pied" . Le beau cheval me donna son pied sans broncher, ainsi que pour les 3 autres suivants. Quand je mouilla hors du box l'éponge pour passer sur le visage du cheval, Prince m'attendait. Le fait que je lui passa aussi l'éponse autour des yeux et des naseaux, le cheval referma aussitôt les yeux. Je n'avais jamais vue un cheval aimant autant le pansage. J'ouvris la porte du box, partit chercher le tapis, l'amortisseur, la selle de saut, le filet et les protections et rentra dans le box avec le tapis et l'amortisseur. Prince fit un peu son têtu quand je voulut lui mettre la selle. Il essayyait de gonfler le ventre. Mais je réussi quand même quelques minutes plus tard à lui mettre la selle. Pour le filet et les protections il se laissa faire sagement. Je lui chuchota à l'oreille " On va faire du saut mon beau ". je passa ls rênes par dessus l'encolure de Prince, ouvris la porte du box et sortit menant le cheval en main.

Carrière d'Obstacle

Après une bonne séance de saut, je ramenna Prince dans son box, le dessela et le pansa. Le cheval était toujours aussi préssée que je le brosse. Après l'avoir soigneusement brossée, je lui donna quelques friandises avant de lui dire: " C'est bien tu as bien travaillé et tu le mérites ! ". Après lui avoir dit au revoir et fermé la porte de son box, je partit prendre un taxi et trouver une meilleure chambre pour dormir ce soir.