KAFKA DE LA GARDE

Kafka de la Garde



Spoiler:



Nom » Kafka de la Garde Age » 8 ans Sexe » Jument Race » Haflinger Taille » 1m44 au garrot Prix » 7 200€ Niveau exigé » Galop 2 Demi-pension Aucune Propriétaire Seventh' H.

Caractère Kafka est une jument douce et calme. Par contre elle a bien son petit caractère. Douée pour le Cross, cette jument à tout pour réussir, mais avec elle, c’est tout ou rien. Un jour elle vous réalisera un parcours parfait en un temps record, le lendemain elle n’avancera pas, refusera les obstacles, fera des bonds au dessus des barres, elle laissera traîner ses sabots et autre caprices. Avec des entraînements réguliers, et de la confiance en son cavalier, elle deviendra sûrement plus régulière dans ses résultats en concours. Elle n’aime pas qu’on s’accroche à sa bouche et si vous le faite, elle aussi se mettra a tirer. Mais elle gagnera à coup sûr. Devant les barres, elle a besoin d’une grande présence de jambes. Elle préfère largement le cross au saut d'obstacles, car elle aime beaucoup travailler dans la nature, comme par exemple faire du dressage dans un champs, ça lui plait beaucoup. Au box, elle ignore un peu son cavalier, mais avec le temps, la complicité s’installera.






Santé » 100% Moral » 100% Confiance » 80%

Cross Vitesse 40% Franchise 32% Endurance 45% Total 39% Saut d'obstacle Respect des barres 22% Souplesse 50% Maniabilité 55% Total 42.5% Dressage Légèreté 52% Soumission 54% Décontraction 33% Total 46.5%
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Dentiste	Vétérinaire	Ostéopathe	Chuchoteur	Maréchal
Dernière visite 21/08/11	Dernière visite 21/08/11	Dernière visite 21/08/11	Dernière visite le 21/08/11	Dernière visite 21/08/11
Prochaine visite 21/12/11	Prochaine visite 21/10/11	Prochaine visite 21/12/12		Prochaine visite le 21/11/11
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Cross » ... Obstacle » ... Dressage » ... Total des gains» ...

Palmarès
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• Camille : Hey ma louloute sa va cet après midi ?
  
  J'ouvrit la porte du box de Kafka et la gratouilla entre les yeux, elle ferma les yeux en se frottant contre moi. Je la repoussa lentement et doucement et partie chercher mon materiel, je rapprocha mon chariot où été posé mes affaires pour monter. Je sortie Kafka de son box, je pris mon bouchon et bouchonna sa belle robe qui n'était pas très sale, je fit également les membres et en quelques minutes j'avais finie le bouchon, je refit ensuite tout son corps avec la brosse douce ainsi que sa belle tête avec le bouchon et quand je fit ses oreilles elle leva la tête pour que je n'ai pas accès a ses oreilles, je la caressa pour la caresser en lui parlant lentement je continua de la caresser et de lui parler puis je rapprocha la brosse de ses oreilles, Kafka été en confiance je fit doucement le tour de ses oreilles et elle ne dit rien, je lui fit une petite tape sur l'encolure pour la féliciter. Je fit son toupet et sa crinière au bouchon, ses crins beige ressemblés a des crins en or, elle été très jolie. Je pris ensuite mon cue pied et je lui fit les pied, de la terre été par terre, par respect au palfreniers je pris un balai et une belle qui tra^^inait a côté de la poubelle et je rammassa la terre et la mit dans la poubelle noire qui se trouvait deux boxs plus loins que celui de kafka, elle me regarda les oreilles pointées en avant. Je pris mon tapis sur le chariot et le posa délicatement sur son dos, ainsi que l'amortisseur et enfin la selle, j'attcha la sangle et mit la croupière. J'attrapa mon filet que je passa autour de la tête de Kafka. Je mit ma bombe, mes gants et attrapa ma cravache et emmena Kafka dans le manège.
  
  Je rattacha Kafka et la désséla, je prit mon éponh=ge et la trempa dans le seau d'eau que Kafka été en trint de boire, les traces de la selle été présente sur son dos, j'éponga la sueur et reposa l'éponge. Je passa un coup de brosse et enleva les protéctions de se membres avant de brosser correctement ses membres avec le bouchon, je la laissa boire, et lui donna 2 morceaux de carottes et le rentra dans son box, elle commenca a manger sa ration de foin et je la laissa tranquille pour aujourd'hui.

• Une semaine de révisions et d'examen et surtout de stress de peur de tout louper. Pour une fois que j'étudiais fallait que j'y arrive, je m'étais donc fort concentrer dans mes examens et non à mon cheval qu'on m'avait confié à l'écurie, mais avec tout ce qui se passait et qu'il allait se passer durant les deux autres semaines, j'avais un peu oublié toute l'écurie, j'avais mis tout de côté même mes amis, je ne parlais à personne encore moins que d'habitude, mais aujourd'hui, après quelque heures d'étude je décidais tout de même d'aller l'après midi au manège m'occupé du cheval qu'Eva m'avait confié. Ma mère me déposait donc devant les écuries et parti aussitôt faire quelques courses pendant que moi j'allais me détendre auprès des chevaux.En arrivant à l’entrée des écuries, en marchant pour aller voir qui j'avais à m'occupé, je croisais deux personnes. Timide comme je suis j'hésitais à continuer à marcher, pour éviter de devoir leur parler, surtout que je ne les connaissais pas, surement des nouvelles à l'écurie. Mais au moment les filles me regardaient, je leur souris en leur adressant tout de même un 'bonjour', prononcé vraiment bas, je ne sais même pas si elles l'avaient entendu, mais elle me répondaient tout de même ou tout simplement elles m'ont dis bonjour par politesse. Je ne saurais jamais vu que je ne sais pas si elles m'entendis leur adresser mon bonjour aussi.Enfin je marchais donc en direction du tableau des montes. Aujourd'hui ça devait être 'mon jour', je croisais cette fois Eva. Je lui adressai à elle, un grand sourire avec un bonjour beaucoup plus fort que celui que je lançai aux deux autres filles. Elle me répondit avec un sourire. Je lui adressai ensuite quelque moment en m'excusant de ne pas être présente ces temps-ci avec mes examens. Ensuite je regardais quel cheval, ou plutôt quelle jument j'allais monter. C'était : Kafka. Je m’interrogeais quelque instants pour savoir quelle jument cela pouvait être, car je ne me souvenais pas l'avoir déjà vu. Eva me conseilla, en me voyant un peu perplexe, d'aller faire un tour dans l'allée 2. Je l'écoutais et marchais énergiquement vers l'allée 2. Une fois arrivée, je regardais sur toutes les portes jusqu'au moment où je trouvais enfin le nom de cette jument. Je me souvenais ensuite, d'un coup, que je l'avais déjà aperçu quand je m'étais occupée de Baby. Il y a d'ici deux semaines. Je déposais toute mes affaires avant de m'avancer devant la porte du box de la jument. Une belle petite haflinger. Je la regardais pendant quelque secondes et ensuite je l'appelai.
  
  -Coucou toi!
  
  La jument ne regardait même pas d'où venait la voix. Je l'appelai ensuite par son prénom, et la sa tête se releva quelques secondes avant qu'elle recommence a manger son foin. Je décidais donc de prendre le licol et d'entrer dans le box. J'ouvris donc la porte, licol à la main et j'avançais vers la jument pour lui enfiler. Une fois à sa hauteur, je lui flattait l'encolure et j'essayais de lui soulever la tête de son foin. Après quelque essaies, elle leva sa tête et je pus lui enfiler. Donc une fois enfiler, je la fis sortir dans l'allée pour pouvoir la panser avant de l’amener au rond de longe. Une fois attachée, je sortis mon étrille et lui frottais bien son corps. La jument n'était pas sale mais ça ne lui ferait pas de mal un petit pansage. A chaque coup d'étrille, j'enlevais des poils morts, donc le pansage était donc préférable. Une fois l'étrille passée et nettoyée de tous ces poils je passais à la brosse dure, pour lui enlever le peu de poussière qui la recouvrait mais aussi les poils morts qui restait sur les poils saints. Je nettoyais aussi la brosse et passais ensuite à la brosse douce. Lui passant sur sa tête, qui possédant une longue liste que j'adorais déjà.La jument avait l'air de s'ennuyer, les oreilles légèrement en arrière, tête basse. Elle ne bougeait pas mais elle ne montrait pas non plus sa joie. Elle ne m’écoutait pas quand je lui parlais ou même quand je chantais. Je me disais qu’une fois qu’elle pourrait se dégourdir les membres. Donc une fois la brosse douce passée sur sa tête je passais à son corps, pour ’lustrer’ son poil. Une fois passée, je pris mon peigne avec mon démêlant et lui démêlai correctement tous ses crins en lui appliquant le démêlant. La jument ne fus pas du tout surprise par le spray, ce qu’il me rassura. Une fois les crins bien démêlés, je pris mon cure-pieds. Je lui demandais donc de me donner les pieds. La jument résista pendant quelque instants, ne voulant pas céder à ma forte, je me fâchai.
  
  -Bon ça suffis maintenant!
  
  Je continuais à pousser contre sa jambe, jusqu’au moment où elle leva enfin son pied. Je dus faire vite pour lui curer, parce que madame n’était pas très contente de rester dans cette position. Je lui curais donc les pieds à une grande vitesse, mais ils étaient quand même tout propre. Une fois le pansage complètement terminer, je pris mon surfaix et lui plaçais sur le dos en y passant l‘enrênnement musculaire. Je lui mis ensuite le licol autour de l’encolure, et lui mis ensuite le caveçon sur sa tête. Je passai ensuite l’enrênnement dans le caveçon. Une fois tout fini, j’attachai la longe à un anneau du caveçon, pris la chambrière et l’emmenai au rond de longe.

Aujourd'hui, je venais sans savoir quoi faire. Je trainais dans les alentours quand je vous au bureau une feuille sur laquelle était inscrit plein de nom de poney et chevaux à sortir. Je décidais d'en faire quelque uns, pour apporter un peu de bonheur aux chevaux qui n'ont pas de cavalier cette semaine. Je regardais la liste. Quasiment aucun m'était connu, parce qu'appart Pancho, Bishop, Forest, Dakota, Roulio & Lodhareff, je ne connaissais pas beaucoup de chevaux. Mais un nom m'évoqua quelques choses, Kafka. Ne sachant plus où je l'avais entendu, je décida d'aller voir pour me remettre la mémoire en place. J'entrais dans l'écurie numéro deux, où j'étais allé juste avant pour m'occuper de Roulio, et je marcha, cherchant le ou la dénommé Kafka. Quand je m'arrêta devant son box, c'est la que la mémoire me revenu, Lisa, mon amie, l'avait monté hier pour le cross. C'était une adorable ponette haflinger qui avait une très jolie bouille. J'entrais dans le box de la petite haflinger à qui je mis le licol et je la sortis du box. Je l'attachais hors de son box et je commença le pansage. Elle ne se souciait pas beaucoup de moi, et s'amusait à mordiller le bout de la longe. Je pris mon étrille jaune en caoutchouc et je lui étrilla les flancs, puis je remonta sur la croupe, sans aller gratter la colonne vertébrale, puis je lui fis le dessous du ventre et les épaules. Ensuite je pris mon bouchon et je lui bouchonna tous le corps sauf la tête et je m'occupa bien de ses longs crins blonds et ondulées. Je lui tressa et je fis de même avec sa queue. Ensuite, je lui passa la brosse douce sur tous le corps, et la tête. Pour finir l'entretient de la tête, je lui nettoyais les naseaux et le coin des yeux avec une lingette de bébé. Ensuite je lui cura les sabots. Je voulais la mettre au pré mais avant de la mettre au pré, je voulais lui mettre un peu d'émouchine et un bonnet pour être sur qu'elle ne soit pas embêté. Après cela, je retira le nœud de la longe et je partis en direction du pré.

Paddock.

On était enfin d'aperès midi quand je revenais du pré. Kafka c'était bien amusé, et sa robe doré avait perdu de son éclat. Je l'attachais à sa place, et je lui retira le bonnet puis je lui passa un petit cou de bouchon, puis je lui retira les tresses et je lui cura les sabots et je mes graissa avant de la rentrer. une fois dans son box, je lui retira le licol et je lui donna le reste de la pomme que je lui avais donné au pré. 'A bientôt ma belle.'