GAZETTE 2011.

Après plus d'un demi mois d'attente [interminable ?] la première édition de notre Gazette arrive enfin ! Une Gazette tout de même difficilement à bouclée car nous sommes seulement quatre dans l'équipe de Journaliste ! Au Programme, notre chère Camille nous fera découvrir un livre et un film, sur le thème des chevaux, pour passer le temps pendant les vacances qui arrivent à grand pas mais aussi un magnifique article sur Pâques ! Ensuite viendrons deux petite Interview. De qui, me direz vous (: Ça c'est à découvrir plus bas ;D Et pleins d'autre surprises ! Sur ce, toute l'équipe vous souhaite une bonne lecture et vous invite à donner vos impressions dans la partie appropriée. ♪

Orpheline, Maya vit comme une prisonnière dans la maison de sa grand-mère paternelle en Californie. Avec interdiction d'évoquer sa mère : les seuls souvenirs qu'elle en a sont une photographie et des petits chevaux en plastique usés, avec lesquels elle joue en cachette. La mort de l'aïeule va bouleverser sa vie : à onze ans, Maya est recueillie par sa famille maternelle - dont elle ignorait tout - dans un ranch du Wyoming. D'abord désarçonnée par cette vie rude de cow-boy au coeur de la nature, Maya est prise en charge par sa tante Vi qui lui apprend à monter. Maya se rapproche progressivement des chevaux galopant en liberté, surtout Artemisia, l'ancienne jument de sa mère revenue à l'état sauvage. Elle retrouve ses racines, les traces de sa mère cavalière intrépide et de son père peintre. Un roman lumineux et généreux, sur fond d'aventures Western ! Un roman plein de suspense !

En 1936, alors que l'Amérique ressent encore les effets de la Grande Dépression, Charles Howard, un vendeur de bicyclettes qui a fait fortune, achète un étalon hargneux, aigri et sauvage, laissé pour compte. Il le confie à un entraîneur quasi mutique et à un jockey borgne, une étoile déchue. Ce trio insolite va métamorphoser le tocard Seabiscuit en un fabuleux champion. Des centaines de milliers d'Américains vont suivre passionnément ses victoires. Les champs de courses sont envahis, la radio retransmet en direct les grands prix, les journaux en font leur une... Seabiscuit devient l'une des plus fascinantes icônes de l 'histoire américaine. Il n'est plus seulement un cheval de légende mais incarne également, au coeur de la tourmente économique, la revanche de tous ceux qui ne devaient pas gagner. Un film beau et émouvant

Pour la premiere édition de notre Gazette, la race mise a l'honneur ce mois ci est ... * Roulement de tambour * ... Le Shetland ! Et bien oui, qui n'aime pas ces petites boules de poils à croquer ? Personne voyons. Pour en savoir plus sur ce mini poney, lisez ces quelques lignes.

~ Histoire ;

Le Poney Shetland ou Shetlandais, comme son nom l'indique, tire son origine des îles Shetland et Orcades, au nord de l'Ecosse. Son origine n'est pas très bien connue. Selon certains auteurs, se basant sur les découvertes des fossiles, il descendrait des poneys nordiques de la toundra qui peuplaient les régions libres de glace de l'Europe du Nord à l'holocène inférieur. Ces poneys étaient manifestement les géniteurs du poney noir des Lofoten, originaire de la côte norvégienne mais maintenant disparu. Il serait donc arrivé par la Scandinavie préhistorique, il y a des milliers d'années, avant que les îles Britanniques ne se séparent du continent au cours de la dernière glaciation. La race aurait été introduite aux Shetland il y a 3000 ans, par des colons norvégiens.

~ Description ;

Le Shetland est le plus connu et le plus populaire des poneys ; c'est aussi le plus petit : sa taille est comprise entre 90 cm et 105 cm (le plus petit spécimen mesurait 65 cm). Quant à son poids, il se situe entre 150 et 180 kg. C'est un petit poney de type médioligne dont la tête, de profil rectiligne ou camus, est petite et courte mais avec les ganaches prononcées. Le front et les naseaux sont larges, les oreilles sont petites, l'oeil est grand. Son encolure, courte et musclée, est large à la base (les étalons ont un bourrelet longitudinal prononcé). Sa crinière ainsi que sa queue attachée haut est longue et fournie. Le dos et les reins sont courts mais très larges, ce qui rend difficile la mise en place d'une selle (ils sont généralement montés à cru par les enfants). La croupe, courte et arrondie, doit avoir la même hauteur que le garrot. Le thorax est large et profond, tandis que l'épaule est longue et inclinée. Le ventre est arrondi.

Notre interview ce mois, c'est bien sur celle de Eva ! Comment l'oublier ? Sans elle SH ne serait pas là aujourd'hui.

J'ai fait de nombreuses écuries virtuelles depuis un bon bout de temps. Biensur au fur et à mesure je me suis améliorée et j'ai crut comprendre ce qu'attendais les membres et ce qui était attrayant.. J'ai suspendu certaines de mes anciennes EV pour cause de manque de temps, parfois d'envie.. Mais je suis toujours revenue à cause du manque. Quand j'étais plus jeune et que je ne pouvais pas monter à cheval, je faisais des EV pour combler ce manque.. Aujourd'hui, c'est bien plus qu'un manque que SH a su combler. C'est une seconde vie, et ca met vraiment du baume au coeur =)

Comme je l'ai dit, j'ai fait beaucoup d'EV. Par mon expérience j'ai su voir et analyser les ' générations ' ce qui m'a permit d'aboutir à SH aujourd'hui. J'ai créer son histoire par imagination, c'était une histoire que je trouvais ennuivrante et plutôt réaliste ( si on se fi aux ranchs des Etats Unis ^^ ). Bref, ce que je veux dire c'est que c'est par mon expérience des EV que j'ai pu m'inspirer de part et d'autres des générations et aboutir à ce concept aujourd'hui.

Centre équestre réel non, mais idéal oui, peut être. C'est vrai qu'il est rare de voir de nos jours un centre où tout le monde est aussi proche.. Les idées que j'ai eut pour SH viennent une longue réflexion afin de déterminer la plus longue vie par de multiples activités, ni trop molles, ni trop contraignantes pour les membres ; car après tout, on a tous une vie avant SH =)

Prévu non ^^ Toutes les EV que j'ai pu faire n'ont jamais aussi bien marchées ! ou tout du moins, pas aussi longtemps. Au jour d'aujourd'hui SH atteint presque 30 membres actifs réguliers ; ce qui je crois, n'est pas le cas de toutes les autres EV où ok, il y a 70 membres, mais pas la moitié sont réguliers comme vous pouvez l'être sur SH. C'est ca ma plus grande fierté : avoir construit une véritable famille solidaire et durable autour de notre passion commune =)

Nouveautés, je ne sais pas si on peut appeler ca comme ça =) Un challenge de Cross va être organisé pendant les vacances ( enfin je vais essayer car je pars moi même en vacances ) ou après. Ainsi SH aura organisé des challenges sur les trois disciplines ; et pourra désormais s'inscrire et programmer des compétitions inter EV =) Ensuite, de nouveaux chevaux sont achetés.. Ils ne sont pas tous arrivés, car ce sera selon nos besoins, mais il y en a actuellement six qui sont en attente ^^ Enfin, par l'idée de Noémie, seront organisés chaque mois des élections pour le plus beau cheval du mois =) Je ne vous en dit pas plus, je vous laisserai découvrir tout ca en temps voulus.

He bien, le SH actuel me convient très bien. Biensur, j'aimerai que chaque membre qui s'inscrit reste fidèl comme beaucoup d'entre vous, et reviennent même après des absences, toujours plus motivés que jamais.. Malheureusement on est pas au paradis des bisounours et ca n'existe pas ( beaucoup ). Le SH idéal pour moi, c'est celui que nous connaissons aujourd'hui, mais qui continue de grandir et de faire plaisir à tout le monde =)

Et bien oui, votre rêve va enfin pouvoir s'exaucer ! Manger des tooonnes de chocolat sans regretter ensuite ( Enfin si, un peu quand même, une fois sur la balance... xD' .) Peut être certain recevrons des sousous de la grand mère et que d'autre chercherons les oeufs en famille. Pour les proprietaires de dadas, faîtes lui des gros bisous mais pas de chocolats pour eux car c'est pas bon ^^ . Mais venons à une question que tout le monde c'est déjà posée. ' D'ou viens la fêtes de Paques ? ' .. Voilà la réponse :

« Pâques (ou dimanche de Pâques) est une fête religieuse chrétienne qui commémore la résurrection de Jésus-Christ. C'est le jour le plus saint du calendrier chrétien. Il marque la fin du jeûne du Carême. Mais pourquoi le chocolat et les cloches de Pâques ? C'est simple, le Carême et une Période de Jeûne et de privation, pour célébrer la fin de celui ci, on offre du chocolat pour reprendre les calories perdues pendant cette fête. Et les cloches ? Avant, dans les petits village, les adultes apellaient les enfants grâce à une petite cloche pour leurs offrirs des morceaux de chocolats.

Article n°5 : Lumière sur.. Le Pony Game !

« Le Pony Games, c'est l'éducation par le sport, l'apprentissage par le jeu ! »

Le Pony Games paru à la fin des années 1950 en Angleterre. Les Anglais s’inspirèrent des exercices de gymkhanas pour inventer cette discipline qui connu un réel succès. En 1991, la France connu officiellement ce jeu amusant. Aujourd’hui, nous pouvons trouvés des compétitions un peu partout dans le monde, en Allemagne, Angleterre, Pays de Galle, Irlande du Nord, Suisse, Belgique, Luxembourg, Écosse, Irlande, Suède, Norvège, mais également dans l’Amérique du Nord avec les États-Unis et le Canada, en Océanie avec l'Australie et la Nouvelle-Zélande et même en Afrique avec l'Afrique du Sud et le Bostwana. Cette discipline est pour tous âges de personnes, nous pouvons voir de jeunes enfants comme des adultes participer à des compétitions de leurs niveaux. Chez l’enfant, le jeu dépend souvent avec le plaisir, et le plaisir favorise l’apprentissage. Il permet à respecter son poney, de ne pas utiliser de cravache, ni d’éperons, mais également il apprend des notions de tout les jours, par exemple le bon respect avec ses camarades, respecté le règlement du jeu, bien s’intégrer avec les autres et à développer le coté stratégie de l’enfant. À cheval, il développe son aisance, sa vivacité, son habileté et le contrôle de la vitesse, des allures, de la direction et de l’équilibre.

Témoignage :

PUBERT Christian, Éleveur de Pottok, participants à des pony games. : Il y a dix ans, quand j'ai vu du pony games pour la première fois, je trouvais cela rigolo ... mais je ne voyais pas bien la finalité ... L'an dernier, quand j'ai revu les mêmes cavaliers dans un club voisin, faire une reprise de mise en selle pendant 45 minutes sans les pédales, sans qu'un d'entre eux ne "moufte ", avec un sens de l'équilibre à toute épreuve, non pas sur leurs poneys ... mais dans leurs poneys ... Là j'ai compris. Le pony games forme de vrais cavaliers, et sont bien plus " qu'un jeu ".
Bravo aux pratiquants.
Bons jeux.

Quelques jeux :

Les marches (Agility aces)

Chaque équipe a besoin de six marches (matériel officiel), cela ressemble à un cône coupé en deux fermé pour que le joueur puisse être dessus. Quatre cavaliers se préparent à participer, les cavaliers n° 1 et n° 3 se trouvent derrière la ligne de départ tandis que les cavaliers n° 2 et n° 4 se retrouvent derrière la ligne de fond. Au signal, le cavalier n° 1 galope vers les six marches qui sont installées sur la ligne du milieu et perpendiculairement à celle-ci. Chaque marche est espacée de l'autre par la mesure du diamètre d'une marche. Il descend puis, tout en tenant son poney par les rênes restées sur l'encolure, il doit marcher sur chacune des marches sans mettre un pied au sol, son poney qui suit à coté de lui. Si une marche tombe, le cavalier doit aller replacer la marche. Sous aucun moment, le cavalier doit poser le pied au sol lorsqu’il franchi les marches sous peine de recommencer au début. Une fois les marches franchies, il remonte sur son poney et va franchir la ligne de fond. Le cavalier n° 2 effectue le parcours en sens inverse. Les cavaliers n° 3 et 4 agissent tour à tour de même.

L’équipe a seulement besoin d’un sac, un sac assez grand pour permette à deux jambes de rentrer dedans. Comme pour chaque épreuve, seulement quatre cavaliers peuvent participer, deux cavaliers se trouvent derrière la ligne de départ (cavaliers n° 1 et n° 3), les deux autres derrière la ligne de fond (cavaliers n° 2 et n° 4). Le cavalier n° 1 traverse le champ de jeu jusqu’à la ligne de fond à pied ou à cheval, en tenant le sac. À la zone d’attente, le cavalier n° 1 et n° 2 mettent chacun une jambe dans le sac. Ils reviennent ainsi ensemble à la ligne de départ en tenant leur poney par les rênes restant sur l’encolure. Les cavaliers ne doivent pas se servir de leur monture pour aller plus vite, par exemple se faire tirer, s’appuyer. Et ils doivent faire bien attention à maintenir le sac au dessus de leurs genoux pendant le parcours. Après que les deux couples ont franchi la ligne en totalité, un des cavaliers transmet le sac au cavalier n°3. Les cavaliers n°3 et n°4 imitent leurs coéquipiers. Ils existent encore de nombreux jeux, tous amusants les uns des autres.

Et voilà ! C'est la Fin de notre Gazette, si vous n'avez pas tout lu, c'est pas grave, vous pourrez patienter plus facilement Jusqu'au mois prochain ! Merci a tout les Journalistes de ce mois ♥

Malgrè les quelques "difficultés" que nous avons eu pour faire la Gazette nous avons réussit tout de même à la boucler et c'est après cette longue attente que nous vous dévoilons enfin la Gazette [tant attendu ?...] du Mois de Mai ! Avec l'aide de toute l'équipe des journalistes nous pouvons avoir à présent dans l'article n°1 un film avec comme titre "Prince Noir" de Sniéjinka Oksana et un roman "Sparky banni du troupeau" de Noémie Pageaut, dont ces derniers, je le pense, peuvent être interressant pour vous. Ensuite en continuant à parcourir vous aller tomber sur l'article n°2 qui est biensûr la race du mois, dont les recherches sont faites par Clara D'Ausal, et à l'article n°3... L'interview du cavalier du mois de Mai ! Et après tout ça, c'est encore loin d'être terminer, alors... A vous de le découvrir et bonne lecture à tous et toutes ! ♪

Un jour, le jeune Joe Evans assiste avec émotion à la naissance d'un magnifique petit poulain noir dont le front est orné d'une tache blanche. Quel bonheur, lorsque son père le lui offre ! L'enfant et le poulain deviennent aussitôt inséparable... Hélas, les temps sont durs et Monsieur Evans fait faillite. Le poulain devenu Prince Noir, un magnifique étalon, est vendu avec la ferme. Dés lors Joe et son cheval vont devoir vivre chacun leur vie, et celle de Prince Noir n'est pas rose tous les jours. Volé par des brigands, il parvient à s'échapper. Devenue quelque temps la vedette d'un cirque ambulant, le hasard et la malchance le conduisent à la guerre. Mais être fêté comme un héros ne suffit pourtant pas à assurer son bonheur ! Prince Noir devra encore vivre bien des aventures palpitantes jusqu'à ce qu'enfin la chance décide à lui sourire...

Les jeunes mâles du troupeau s'intéressent de plus en plus aux juments et ce n'est pas du goût de Rock; l'étalon. L'un d'entre eux, Sparky, commence d'ailleurs à ennuyer tout le monde. Peut-être est-il temps pour lui de faire sa vie ailleurs... Je m'appelle Sparky, du mot "spark" qui signifie "étincelle" en anglais. Ce nom me va très bien car je suis toujours bouillant et plein de vie. Depuis quelques temps, je m'intéresse moins aux poulains de mon âge et un peu plus aux juments du troupeau et aux drôles d'odeurs qu'elles dégagent au printemps. Mon père, lui, me tape sur les nerfs et j'ai parfois envie de l'envoyer promener ! Quand ma mère, Blanket, la jument dominante du troupeau, elle ne veut plus entendre parler de moi depuis mon sevrage il y a déjà deux printemps et ça commence à m'agacer. Peut-être pourrais-je écarter mon père du troupeau et m'accaparer les juments ? A moins que l'une d'entre elles accepte de me laisser approcher pour découvrir ce qui fait qu'elle sent si bon ? Depuis quelques semaines, même ma mère dégage des odeurs intéressantes. Comme les autres juments ne veulent pas me laisser venir près d'elles ( elles n'ont d'yeux que pour Rock !), j'ai décidé de tenter une approche. Malheureusement, Blanket ne l'entend pas de cette oreille et c'est sans ménagement qu'elle m'envoie promener. J'ai déjà été plusieurs fois écarté du troupeau pour mauvaise conduite mais, jusqu'ici, j'ai toujours pu revenir. Aujourd'hui, je sens que les choses vont se passer différemment... J'ai trop envie de tenter ma chance auprès des juments ! Rock a remarqué mon manège et n'apprécie pas l'intérêt que je porte "ses" juments. Cette fois-ci, j'en ai assez : j'ai décidé de ne pas le laisser m'écarter et de répondre à ses menaces. Nous verrons bien qui sera le plus fort ! Je tente de l'impressionner en poussant de grands hennissements et en donnant des coups d'antérieur dans sa direction. Furieux que je puisse oser bafouer son autorité, il se cabre et pousse lui aussi des hennissements stridents. Aucun coup ne m'atteint, mais il est maintenant clair qu'il a plus d'assurance que moi et que l'issue d'un combat serait certainement en sa faveur... Malgré mon courage et mon énergie, je dois finalement m'avouer vaincu : je sens bien que Rock est plus fort . L'expérience aura eu raison de la jeunesse. Impossible pour moi de rester au sein de son troupeau à présent : il ne me pardonnera jamais de l'avoir défié. La seule issue pour moi est la fuite et c'est le coeur gros que je quitte le troupeau qui m'a vu naître. Je vais sûrement trouver un groupe de jeunes mâles célibataires qui, comme moi, ont dû quitter leur troupeau; chassés par l'étalon en place. Mais je ne m'avoue pas vaincu pour autant : je compte bien un jour être à la tête d'un harem ! Qui sait, peut-être qu'au printemps prochain à avoir le dessus sur Rock ou d'autre étalons et accaparer leurs juments ? A moins que certaines de leurs belles ne décident de s'écarter du troupeau et de se joindre à moi pour le meilleur et pour le pire.

Ce mois-ci, la Gazette va vous présentez le … selle français ! Pourquoi présenter une race que tout le monde connaît ? Tout simplement parce que les selles français sont les plus nombreux à Seventh’Heaven. Les selles français sont excellents dans de nombreux domaines mais plus particulièrement en CSO et CCE.

~ Histoire ;

Autrefois connu sous le nom d’anglo-normand, le selle français provient de nombreux croisements notamment avec des chevaux arabes mais la race est principalement issue de croisement entre des « demi-sang » français et des pur-sang anglais. En 1958, toutes les races dites demi-sang se sont vu donné le nom de selle français. Voici une liste de plusieurs chevaux demi-sang devenus selle français : comme l'angevin, un demi-sang de la région d'Angers, l'anglo-normand, le charentais, demi-sang de la région des Charentes, le charolais, demi-sang du pays de Charolais, dans la région de Charolles, le cheval des Dombes, le cheval du Centre ou demi-sang du Centre, et le Vendée. Ainsi, le selle français a des caractéristiques différentes selon le berceau de la race demi-sang.

~ Description ;

Le taille du selle français varie beaucoup mais la plupart d’entre eux dépassent 165cm mais la taille peut exceptionnellement atteindre 180cm. Son poids varie fortement entre 550kg et 800kg. Le selle français possède une fine et petite tête avec des ganaches bien prononcées et des oreilles plutôt longues. Son profil est quant à lui rectiligne ou convexe. Son encolure est longue et bien attachée. Le selle français aime ce qui est long si bien que son garrot ainsi que son épaule sont longues. Son dos est droit avec une croupe musclée légèrement oblique. bonne musculature. Les membres du selle français sont solides et musclés avec des articulations sèches, des canons courts et fins et des tendons bien détachés. Cinq variétés sont élevées, selon le poids du cavalier que le cheval est capable de porter: trois de types moyen et deux de types lourd. Le premier type comprend: le Petit Selle, mesurant jusqu'à 155cm; des sujets moyens allant de 155cm a 1,65m; des individus dépassant 165cm. La taille du type lourd est inférieure à 163cm.

He oui, le cavalier du mois de Mai n'est autre que Camille Cavallo ! A vous de lire ce qu'elle nous à confié.

Le mois de mai est le mois où il fait chaud et où l’on veut sortir dehors et pourtant, le mois de mai est un mois où beaucoup d’étudiants passent leurs examens et donc le nez dans leurs livres. Mais du côté de nos amis (les chevaux), certains clubs commencent à faire passer les Galops aux cavaliers. Le temps des balades et des pique-niques est de retour mais il va falloir patienter un peu car « le repos après le travail ». Pourtant, les examens sont-ils vraiment utile ?
Les examens ne servent pas à mesurer les connaissances mais à vous mettre dans des conditions de faux devoirs. Faux devoirs ? Oui car vous travaillez mais pas dans les mêmes conditions que chez vous. Pourtant, les examens n’expriment pas un résultat précis car un élève qui suit bien en classe et qui fait bien ses devoirs peut être angoissé, stressé et son résultat ne reflète pas son travail. De plus, le temps est limité pour trouver une réponse et donc un élève ne peut pas toujours prendre son temps pour répondre correctement à des questions. A vos cahiers !

La voltige (de la France) est issue des cirques. Aujourd’hui, la voltige est une discipline équestre à part entière où l’on peut passer sept Galop et où il ne s’agit pas de sauter sur le cheval. La voltige est pratiquée dans de nombreux clubs en tant que discipline sportive et en tant qu’aide d’apprentissage pour les enfants. Cette discipline est aussi un bon moyen de vaincre sa peur des chevaux car il n’y pas de selle ce qui permet aux débutants de trouver leur équilibre naturel.
Il existe deux voltiges différentes : La voltige en cercle où le cheval tourne en cercle et la voltige libre où le cheval est libre.

Le but de la voltige est de réalisé des exercices qui sont peu vu lorsque le cheval est sellé. Se mettre à l’envers (face à la queue), se mettre à genoux ou encore descendre par la croupe. Une fois que le voltigeur est à l’aise, il peut exercer ses exercices au galop car en voltige, le trot n’existe pas. Il peut y avoir également deux voltigeurs sur le cheval.

Le cheval de voltige doit être cheval de taille moyenne, gentil et qui possède un galop cadencé. En effet, un cheval trop grand est impossible à monter (en voltige il n’y a pas d’étriers) tout en coordonnant ses mouvements. Le cheval de voltige ne doit pas être dérangé quand un voltigeur monte sur son dos et exécute des figures. Le galop cadencé permet au voltigeur de bien sentir le rythme du cheval au galop.

L’équipement du cheval est composé d’un enrênement pour maintenir sa tête, de protections, d’un gros tapis sur lequel est posé un surfaix spécial muni de deux poignées. Pour le voltigeur amateur, il est conseillé de porter une paire basket. Le port du casque n’est pas obligatoire.

Quelques figures de voltiges :

L'étendard (ou drapeau) : à "quatre pattes", le cavalier lève le bras droit et la jambe gauche
Le moulin : le cavalier tourne en passant successivement les jambes par dessus l'encolure et la croupe de son cheval et la levant le plus possible.
Les ciseaux : d'une bascule du buste, le cavalier soulève ses fesses du dos du cheval, monte en appui renversé et croise les jambes pour se retrouver à l'envers. Ensuite, depuis l'arrière, il lance ses jambes, monte le plus possible (fesses à la hauteur des épaules) avant de tourner pour se retrouver à l'endroit.

Comme on dit tout à une fin... Mais aucune inquiètudes ! Puisqu'il y aura la Gazette du mois de Juin qui ne devrait pas tarder à être publié sous vos beau yeux brillant !

A bientôt !

La revoici, la revoilà ! C'est la gazette de juin ! Encore une fois, l'édition a été plutôt difficilen notament à cause de la difficulté à trouver des journalistes actifs sur le long terme, mais au final tout est bien qui finit bien, et notre retard, on le rattrapera. Un grand merci aux bénévoles qui ont constitué cette nouvelle gazette et qui n'ont pas eu peur de donner leur temps pour nous faire plaisir ! ♪

Le père de Katy voudrait qu'elle fasse des études, mais la jeune fille n'a qu'une envie : travailler dans le ranch familial, dans le Wyoming. Lorsque Katy découvre une jeune jument sauvage, elle la recueille et la baptise Flicka - « jolie jeune fille » en suédois.
Katy voudrait dresser le cheval pour le monter, mais Flicka refuse. Elle n'abandonnera pas sa nature libre sans se battre… Contre l'avis de son père, qui souhaite s'en débarrasser, Katy insiste et y met tout son coeur. L'extraordinaire amitié qu'elle finira par nouer avec Flicka bouleversera sa vie, et celle de toute sa famille…

Richard, un jeune orphelin, palefrenier dans une exploitation minière allemande en Namibie, sauve un poulain d'une mort certaine, à l'insu de son patron. Le petit cheval, auquel miraculeusement à un long et périlleux voyage. Entre Richard, une petite nomade Bochiman et Lucky se tisse un lien indéfectible. Mais la guerre qui fait rage en Europe contraint les allemands à quitter l'Afrique. Emmené de force, Richard, désespéré, doit abandonner son poulain. Lucky pourra-t-il survivre seul dans cette contrée hostile ?

Pour cette édition de la gazette de juin, nous avosn décidé de mettre en lumière.. le Connemara ! Hé oui, l'incroyable poney performant présent sur tous les terrains de concours et qui en charme plus d'un de cavalier =) Alors focus on et honnorons les !

~ Histoire ;

Le poney Connemara est issu de la région située sur la côte Ouest de l'Irlande qui porte son nom. Son histoire remonterait à quatre siècles avant notre ère. Ses origines sont étroitement similaires à celles du poney Highland. Il est le fruit de croisements nombreux avec des chevaux orientaux qui ont profondément marqués la race. Plus tard, il recevra des apports de sang de Pur Sang Anglais, Pur Sang Arabe et Clydesdale. Sa résistance et sa force seront longtemps mises à contribution pour les travaux agricoles. Aujourd'hui, il est devenu une monture idéale pour le tourisme et la compétition.

~ Description ;

La race Connemara présente une tête de taille moyenne et équilibrée conservant un grand espace entre les yeux. Il a des oreilles petites, des ganaches bien définies, assez développées sans être lourdes et des naseaux larges. Le poney Connemara arbore une encolure bien conformée aux crins abondants accompagnée d'un garrot assez relevé. Ses épaules longues et bien inclinées se prolongent par un dos fort. Il possède un thorax à la fois ample et profond et une ligne dorsolombaire longue et droite. Sa croupe est légèrement oblique et musclée et sa queue est longue et bien fournie. Le Connemara a des membres résistants aux articulations sèches. Il possède des canons courts dont le métacarpe principal doit mesurer entre 18 et 21 cm. Il présente des aplombs corrects, des tendons bien détachés et un pied bien fait.

Notre interview ce mois, c’est bien sur celle du meilleur cavalier du mois, autrement dit, place à Nastasya Johnes !

Le voilà enfin la fin du mois de juin attendu par presque tous les étudiants. Si les derniers terminent leurs examens, la plupart ont terminés les leurs et son désormais en vacances. C’est le moment de ressortir son maillot de bain, son linge ou... ses affaires d’équitation. Pour quel cavalier vacances ne rime pas avec cheval toute la journée ? C’est également la période de s’initier dans une discipline qui ne se pratique pas forcément près de chez vous ou dans le rôle de propriétaire en prenant un cheval en demi-pension. Pour ceux qui n’ont malheureusement pas cette chance, sachez que les clubs cherchent souvent des aides pour les stages, pour le nettoyage des box et parfois la sortie de certains chevaux. Alors pourquoi pas toi ?

Mais n’oubliez pas, l’été est la saison où le soleil tape le plus fort alors n’oublier pas de vous hydrater mais surtout de vérifié l’état de votre monture. Si tu en as le possibilité, sort plutôt ton équidé tôt le matin et tard le soir et privilégie les endroits dans l’ombre. Alors passez de bonnes vacances entourées de la plus belle conquête de l’homme !

Le dressage est souvent considéré comme la discipline mère des autres disciplines équestres car rien n'est envisageable sans de bonnes bases en dressage. Le dressage est un art car la recherche esthétique du mouvement y prend une place prépondérante, et des principes tels que la légèreté, la décontraction, l'impulsion et l'amour sont indispensables à l'atteinte de « la belle équitation », afin de l'élever au niveau de l'art. C'est la représentation stylisée des mouvements gracieux du cheval. En compétition, le dressage sert à tester la qualité de la communication entre le cheval et son cavalier. Le couple évolue sur un terrain rectangulaire de 60 m sur 20 m et exécute une série de figures appartenant à un programme appelé reprise. Ce programme peut être imposé ou libre avec de la musique. Le programme libre s'appelle aussi Kür ou reprise libre en musique (RLM). Le cavalier emploie des ordres aussi discrets que possible afin de paraître presque communiquer par télépathie avec sa monture. Paradoxalement, aux yeux d'un public non averti, une bonne exécution donne l'impression que la discipline est facile. Cependant, une bonne reprise en compétition n'est que le résultat d'années de travail intense. Le jury, composé de deux à cinq juges, évalue l'aisance et la fluidité dans les mouvements du couple. Chaque figure est notée de zéro (figure non exécutée) à dix (exécution excellente). Le jury attribue aussi des notes d'ensemble permettant de juger un certain nombre de paramètres, dépendant du niveau technique de l'épreuve, tels que la précision de l'exécution, la soumission du cheval, la qualité des allures, l'impulsion, la position du cavalier, etc. Une note artistique est attribuée lors de la reprise libre en musique ; elle tient compte en particulier de l’harmonie de la reprise, de la chorégraphie et de la musique. La note totale est exprimée en pourcentage.

Voici les airs (=Un air est une figure de dressage) "de base" car avant de réaliser une croupade, une levade ou une pirouette il faut maitriser celles-ci :

• Épaule en dedans : exercice de trois pistes dans lequel le cheval se déplace latéralement, infléchi de la nuque à la queue. Le cheval se déplace vers le côté extérieur du pli, regard porté vers l'intérieur du pli. Elle s'exécute aux trois allures. L'épaule en dedans représente un exercice d'assouplissement et vise à augmenter l'engagement des postérieurs, faire baisser les hanches et élever l'avant-main. C'est « l'aspirine et la pierre de touche de l'équitation (Nuno Oliveira).

• Croupe en dedans ou tête au mur : cet air est l'inverse de l'épaule en dedans. L'épaule en dedans et la croupe en dedans (appelé aussi « hanche en dedans ») lorsqu'ils sont réalisés en alternance par inversion du mouvement, constituent un exercice favorisant l'augmentation de l'amplitude des foulées du cheval et sa dextérité. Pour ne pas mélanger cet air avec le travers, qui est aussi une "croupe en dedans", il faudrait mieux dire contre-épaule en dedans".

• Appuyer : exercice de deux pistes dans lequel le cheval se déplace latéralement et croise ses membres. L'avant-main précède légèrement l'arrière-main, l'encolure et la tête sont infléchies dans la direction du mouvement. L'appuyer est pratiqué notamment pour renforcer la musculature, assouplir latéralement le cheval, en augmenter sa mobilité et sa disponibilité et mobiliser les postérieurs. En fait, on considère le travers, le renvers et l'appuyer qu'une seule leçon.

• Passage : trot majestueux d'une grande lenteur, fortement diagonalisé et relevé, au temps de suspension très soutenu, dans lequel le cheval se projette avec force, souplesse et grâce d'un diagonal sur l'autre tant vers le haut que vers l'avant.

• Piaffer : passage sur place.

• Pas espagnol : pas cadencé, majestueux et spectaculaire dans lequel le cheval élève et étend vers le haut et l'avant successivement chaque antérieur, tout en avançant franchement et en conservant son rassembler.

À noter que le pas espagnol, la croupade et la levade ne sont pas admis en compétition.

Et voilà ! C'est la Fin de notre Gazette, si vous n'avez pas tout lu, c'est pas grave, vous pourrez patienter plus facilement Jusqu'au mois prochain ! Merci a tout les Journalistes de ce mois ♥

Vous l’attendiez, la gazette est arrivée ! Bien qu’ayant eut encore un petit peu de retard et de difficultés à tout monter.. C’est notament grâce à votre sous rédactrice en chef, Chloé Johnson, que cette gazette a pu voir le jour ! Et en tant que directrice du domaine, je tiens à la remercié, car sans elle, nous serions dans de beaux draps et ne nous en sortirions jamais. Alors cette gazette, Chloé, je te la dédis ! Merci à toi =)

"Septembre 2006, dans la France entière c'est la rentrée des classes. À Chantilly, une trentaine de garçons et filles de 14 ans passent la porte du pensionnat « Le Moulin à Vent », centre d'apprentissage des futurs lads et jockeys. Trois ans plus tard, les meilleurs seront jockeys, les autres auront appris le métier de lad. Pour ces jeunes élèves, le choc est souvent violent. Ils quittent un cocon familial pour rentrer dans la dure réalité d'un monde où les heures ne comptent pas et où le confort du cheval passe avant celui des hommes. Chez les entraîneurs, ils découvrent la peur, les sensations fortes, la puissance du cheval de course, le monde rugueux des adultes, le travail physique et éprouvant, les ordres secs du patron, les joies des galops à toute allure, la complicité de leur monture et l'abnégation totale dont ils devront faire preuve pour réussir. Le film suit la classe de première année : Steve, Flavien et Florian en font partie. Ils ont en commun le monde de l'adolescence, les premiers flirts, les téléphones portables, les mp3 et les rêves de richesse et de gloire. Cependant, tous n'atteindront pas le rêve tant espéré. Florian est déjà, dans sa tête, un futur crack jockey et semble avoir les qualités requises pour y parvenir. Steve, mort de peur à cheval, deviendra sans doute un très bon homme de cour. Flavien n'appréhende pas encore son avenir avec certitude et se pose naturellement des questions sur son devenir dans ce métier... À la fin de l'année, on suivra la première course d'un élève de l'école et donc son entrée officielle dans le monde des « pilotes » qui le fera passer du statut d'apprenti à celui de jockey. "

" La Rentrée "

"Margaux a toujours rêvé d'intégrer l'école d'équitation Chestnut Hill. Bien qu'elle soit en première année, les cavaliers récompensés et les chevaux prestigieux ne l'impressionnent pas. Mais Margaux comprend vite qu'être populaire et talentueuse ne veut rien dire dans les couloirs de Chestnut Hill. Choisir les bons amis fera toute la différence..."

[ Résumé du Volume II dans la prochaine gazette ]

Pour cette édition de la gazette de juillet, votre sous rédactrice a choisit de vous parler d’une race toute mignone.. Car tout ce qui est petit est mignon.. Mais surtout d’une race bien trop méconnue ou vue au sein de notre centres équestres respectifs, à savoir.. Le Falabella !

~ Histoire ;

Le Falabella est une race de cheval miniature, résultat de croisements entre des poneys Shetlands et des Pur Sang, qui nous vient d'Argentine. Il est bien considéré comme un cheval miniature et non pas comme un poney car il ne présente pas les attributs du Shetland et ne doit pas être confondu avec lui. Les Falabellas peuvent être considérés par certains comme gracieux, mais ils présentent d'évidentes faiblesses de conformation à cause de la recherche d'une petite taille, problèmes que les éleveurs n'arrivent pas à éliminer malgré tous leurs efforts pour obtenir des chevaux plus vigoureux.

~ Description ;

La tête doit montrer les caractéristiques du cheval mais beaucoup de sujets ressemblent à leurs ancêtres shetlands. Les oreilles sont très petites et bien écartées, les yeux amicaux et calmes, le profil est rectiligne et les naseaux petits et ouverts. Les sujets les plus recherchés évoquent des Pur-sang en miniature. La taille ne doit pas dépasser 76 cm. Il existe plusieurs robe pour le Falabella. Il est calme, amical et docile mais peut s'agiter. Ce petit cheval ne peut en aucun cas être monté, contrairement au mini-shetland, car il est trop faible. Ne pouvant être employé comme un cheval que pour tirer de petites carrioles, le Falabella possède néanmoins une force très importante par rapport à sa petite taille. Il est aussi utilisé pour des présentations en main (show), concours de saut d'obstacle en longe (jumping) et parfois dans des cirques. On le fait aussi travailler en longe, en longues rênes... comme n'importe quel cheval.

Si vous voulez en acquérir un, sachez quand même qu'il a les mêmes besoins qu'un cheval de taille normale. Il est trop souvent considéré comme un animal de compagnie mais sa force et ses caractéristiques physiques nécessitent des connaissances équestres minimales. Les Falabella sont appréciés par certains comme animal de compagnie mais restent des chevaux à part entière, avec les responsabilités et la règlementation que cela engendre. Ils ont besoin d'espace, d'un paddock ou d'un abri, d'un box ou d'une stalle, et de travailler pour rester en forme physiquement, au même titre qu'un cheval de taille habituelle. Il n'a pas les mêmes besoins qu'un chien malgré sa taille.

Notre interview n’en est pas vraiment une en réalité. Bien qu’elle concerne le cavalier le plus actif du mois de juillet, cela va de soit, celle-ci ne se fera pas sous forme d’interrogatoire car notre cavalier ne fait, à l’heure actuelle, plus partit des membres à cause d’une inactivité trop prolongée et justifiée. Place à Elsa Scarlet !

Elsa Scarlet s’est inscrite au domaine au début du mois de juillet. Elle s’est tout de suite faite remarquée grâce à son enthousiasme à être là. Son métier était d’être journaliste, et elle se passionnais pour la discipline du Saut d’obstacles. Toujours partante pour discuter ou jouer dans la partie flood, Elsa était une membre appréciée qui animais beaucoup les journées =)

Au niveau monture, Elsa avait pour chouchou, si mes souvenirs sont bons, le petit Roulio du Bosc Guérard, poney français sanguin et coquin. Toutefois, elle avait également pas mal d’atomes crochus avec par exemple, Lou de la Bretèque. En définitive, on savais qu’Elsa aimait les poneys et leur accordé du temps.
En plus des soins casi quotidiens qu’elle donnait à ses chevaux attribués chaque semaines, Elsa consacrait également de son temps à s’occuper du refuge canin. Elle avait même adopté le petit Lucky, Golden Retriever. Mais son engagement envers SH ne s’arrêtait pas là. Le temps qu’elle passait aux écuries était également doublé car elle s’occupait sans relâche des chevaux à sortir en priorité afin de leur donner amour, soin, et travail au même titre que les autres.

Vous l’aurez comprit, Elsa était une membre active et appréciée de tous qui accordait tout son temps au domaine et à ses membres. Toutefois, son emplois du temps personnel devint trop chargé et elle ne put continuer cette extrême activité. C’est donc après plusieurs mois d’absences prolongée et injustifiée que j’ai du prendre la décision de supprimer son inscription parmi nous, chôse que j’aimerai ne jamais faire. Alors gardons un bon souvenir d’elle et de tout ce qu’elle a apporté à apporté à nos écuries.

Ca y est, pour la plupart d’entre nous, l’heure des grandes vacances à sonné !

Du coup.. Chacun va occupé son temps libre comme il en a envie. Certains, fatigués, vont préférer se reposer chez eux, allongés sur leur lit et ordinateur sous le nez ; d’autres auront la chance de partir de leur petit chez eux pour aller profité des belles plages d’été, avec soleil, sable et coups de soleils ^^

Pour les plus actifs, les vacances sont aussi synonymes d’activités et de liberté. Alors tandis que certains verront leur amis en ville, pour profiter des boutiques, des glaces bien fraîches ou bien même des salles climatisées des cinémas, certains décideront de partir en camps de vacances. Après tout, n’est-ce pas là bas que nous vivons nos meilleurs moments ? Camping, VTT, cayak, feux de camps, champs, jeux stupides, éclats de rires, de nouveaux amis et pleins de souvenirs.. A nous les jolies colonnies de vacances, merci papa, merci maman.

Enfin, la dernière des catégories d’écoliers en vacances concerne des passionnés. Et c’est une vraie communauté ! Celle des cavaliers ! Hé oui, les vacances sont aussi synonymes de stages et autres activités équestres bien différentes de celles rencontrées et pratiquées toute l’année =) Et c’est sans doute là que nous passeront nos meilleurs moments de l’année ! Alors tous à vos boots et profitez bande de petits veinards, les dadas n’attendent pas.

Le cross, épreuve spécifique du complet, est une discipline qui ne se pratique que dans le cadre d'un concours complet. Sa particularité est de se passer sur des terrains naturels (plaine, bois, gué) et de comporter des obstacles fixes, contrairement au saut d'obstacles où les barres sont mobiles. Il faut plus de train que sur le cso. L'alliance d'obstacles fixes et d'une vitesse élevée garantit une épreuve spectaculaire mais difficile et comportant des risques pour le cavalier comme pour le cheval.

Le tour se déroule dans l'ordre normal des participants. Ceux-ci s'échauffent sur un terrain placé non loin du départ du cross et se présentent à l'appel du chef de paddock à la boîte de départ. Cette zone d'une vingtaine de mètres carrés délimitée par des poteaux est l'endroit d'où les couples s'élancent sur le cross. Au signal du starter, le cavalier enclenche son chronomètre et peut partir à son tour. L'objectif pour le cavalier est alors de franchir la totalité des obstacles du tour, dans l'ordre et en approchant le plus possible le temps idéal, sans toutefois le dépasser, sinon des points de pénalités lui sont donnés. Comme il peut y avoir une centaine de partants et qu'un tour de cross dure plusieurs minutes, il y a en permanence de deux à quatre chevaux sur le tour simultanément. Il est assez rare qu'un couple en rattrape un autre, mais lorsque cela arrive, les juges aux obstacles doivent prévenir le concurrent rattrapé pour lui signaler de s'écarter afin de ne pas gêner le cavalier suivant.

Voici les principaux obstacles présent au cross :

- le contre-bas, dénivelé vertical vers le bas ;
- le contre-haut, dénivelé vertical vers le haut ;
- le directionnel, obstacle avec très peu de front ;
- la haie, composée de broussailles ;
- la table de pique-nique, sorte de plateau en bois large et massif ;
- le trakehner, composé d'un tronc au-dessus d'un fossé ;
- le coffin, un fossé souvent dans une dépression du terrain, entouré de deux obstacles ;
et beaucoup d'autres, limités uniquement par l'imagination des concepteurs et la sécurité des participants.
- le gué, souvent passage phare du cross, n'est pas un obstacle à proprement parler : c'est l'adjonction d'autres éléments avec lui qui en fait un obstacle. Par exemple, un contre-bas en entrée ou un contre-haut en sortie, ou encore un obstacle au milieu de l'eau, donnera un obstacle dont la difficulté est augmentée par la présence de l'eau.

A noter qu’il y a souvent des combinaisons de deux ou trois obstacles dans le parcours.
Pour limiter les difficultés, des options peuvent être ajoutées. Elles consistent en un chemin bis, plus facile techniquement, mais très pénalisant au niveau du temps. Le plus important avant de partir sur un parcours de cross est bien sur de vérifier son équipement pour sa sécurité et celle de son cheval.

Pour le cavalier, le protège dos est obligatoire ainsi que le casque comme dans toutes les disciplines en concours. Pour le cheval, rien d'obligatoire mais le protéger avec des protections fermées antérieurs + postérieurs et des cloches est très fortement conseillé.

Et voilà ! C'est la Fin de notre Gazette, si vous n'avez pas tout lu, ce n'est pas grave, vous pourrez patienter plus facilement jusqu’à la prochaine.. Qui, bien qu’ayant du retard, va arriver très très vite ! Merci aux journalistes de ce mois ♥

Chose promise, chose due ! Nous avous avions dit que la gazette allait carburer dur pour rattraper son temps perdu, hé bien, elle est partie et on ne l'arretera plus ! Alors chers amis, remercions la direction ainsi que notre habituelle et fidèle sous rédactrice en chef, et place à la lecture !

'' Dans son ranch de Heartland, au coeur des montagnes Rocheuses de l’Alberta, Amy est décidée à garder vivant le rêve de sa mère disparue. Elle se consacre au soin des chevaux blessés ou maltraités, en basant sa technique sur la douceur et la confiance réciproque. Pour Amy, sa soeur Lou et son grandpère Jack, la vie est malheureusement devenue un eu plus compliquée qu’elle ne l’était. Et il a fallu affronter le départ inattendu de Ty, le garçon d’écurie ; depuis, celui-ci a été remplacé par Caleb Odell, un cow-boy passionné de rodéo. Lou, de son côté, échafaude des plans afin d’agrandir le ranch et de le transformer en un “centre équestre pour touristes“, tandis que Jack tente d’assurer la cohésion familiale... Tout au long de ces nouvelles aventures, Amy aura à concilier sa passion pour les concours équestres, ses études et son travail au ranch. Mais le plus difficile pour elle sera sans doute de choisir entre Ty et Caleb... ''

" Un grand pas "

" Laurie fait maintenant partie de l'équipe d'équitation. mais le fossé est toujours aussi grand entre elle et le reste des filles. Alors qu'elle s'appête à tout arrêter, un nouveau cheval, Tybalt, rejoint l'écurie.Celui-ci lui rapelle le cheval de son enfance ... Laurie est désormais déterminée à se faire une place à Chestnut Hill pour apprivoiser cette graine de champion "

[ Résumé du Volume III dans la prochaine gazette ]

Pour ce nouveau numéro de la gazette de Seventh' Heaven, votre sous rédactrice en chef a choisit de mettre en lumière une toute nouvelle race arrivée uniquement et récemment sur le domaine avec l'achat pour le club de Hullaby de Quercy.. A savoir, le frison ! Vous êtes nombreux à aimer cette race, et pour lui faire honneur ainsi que pour faire honneur à notre nouveau cheval de club, en voici un peu plus sur l'histoire de cette race...

~ Histoire ;

Le Frison est une race de cheval de selle et de trait originaire de la Frise, province des Pays-Bas dont il tire son nom. C'est un cheval de prestige très ancien, apprécié pour le spectacle en raison de sa grande élégance et de son charisme, qui porte toujours une robe noire. Il est d'ailleurs surnommé « La perle noire ». Le Frison est probablement le résultat d’un croisement entre l’ancien cheval continental de type lourd et le cheval celtique plus léger, le Tarpan. Le frison est une des races les plus pures car il a été très peu croisé avec d'autres chevaux pour améliorer la race.
La sélection des étalons est très stricte ; celle-ci détermine si oui ou non un entier peut devenir étalon Stamboek, c'est-à-dire reproducteur : on compte environ 800 entiers inscrits chaque année et entre 200 et 300 étalons acceptés à l'inscription à Leeuwarden en Hollande. Il n'en ressort que cinq ou six. Il existe une sélection semblable aux États-Unis, étant donné la distance et le marché intéressant que les Pays-Bas entretiennent avec eux. Ainsi, en 2006, seulement 76 étalons ont été inscrits.
Le Frison est très à l'écoute à l'attelage et impose une certaine classe. Il est le prestige de la discipline même. Une chaise frisonne lui est même attribuée. Seul le frison est habilité à la conduire. Cette dernière est rare et numérotée. (chaise frisonne : Steejstaard) Le cirque est pour le Frison une manière de trouver une « utilité » à la race ; grâce à sa docilité, sa complicité, son amour pour le jeu, l'attention porté vers son dresseur. C'est ici qu'il nous fait découvrir ses aptitudes à la haute école. Le dressage est une discipline où le Frison est de plus en plus accepté. Il y était souvent rejeté à cause de son modèle considéré comme trop typé. Le TREC et la randonnée sont des disciplines où on retrouve parfois des chevaux Frisons, plutôt légers. Malgré le fait qu'il ait de trop petits poumons, il peut, de façon raisonnable, exécuter les niveaux les plus faciles. C'est dans l'endurance, qu'il montre ses moins bonnes performances puisqu'il ne possède pas une grande résistance à un effort intense et durable. Il faut, là encore, entraîner son souffle. Le saut d'obstacles n'est pas non plus sa discipline de prédilection, mais il exécute quand même quelques parcours de droits et d'oxers.

~ Description ;

Le Frison toise environ de 1,55 à 1,66 mètre au garrot et peut atteindre 1,75 m pour les plus grands spécimens. Son port de tête le fait toujours paraître plus grand qu'il n'est en réalité. Il est toujours noir zain sauf en cas de croisement (C'est pour cela qu'on le surnomme « la perle noire »). Les « frisons blancs » ne sont pas pure race et ont hérité leur robe blanche d'aïeux non-Frison; ils ne sont donc pas considérés comme des frisons. Sa tête est noble et expressive, pas très longue, avec de petites oreilles dont les pointes se rapprochent. L'encolure, portée très haut, rehausse son port de tête altier. Son dos est court et fort, l'épaule longue et profonde. La croupe est légèrement oblique. C'est un cheval puissant, avec des fanons et une crinière très fournie de longs crins caractéristiques : noirs et souvent ondulés ou frisés. Aucune marque blanche n'est acceptée : ni liste, ni balzane. Il est apprécié pour son allure, en particulier le trot car il est très gracieux, ce qui le rend très populaire pour les attelages. Sa présence en compétition de dressage reste encore marginale. C'est un cheval dit « tardif ». Il est communément admis qu'il atteint l'âge adulte vers 5-6 ans, au lieu de 3 ans pour la majorité des autres races de chevaux. Son caractère est en or, il se prête volontiers aux ordres de son cavalier, très attachant.

Notre interview du mois d'août est une des première du genre et donc vraiment exceptionnelle ! En effet, le cavalier de ce mois-ci l'a vraiment mérité, et pour cause ! il s'agit de votre sosu rédactrice en chef, Chloé Johnson ! Hé oui ! Celle-ci, malgrés son peu de temps libre à réussit à nous consacrer quelques temps pour répondre à notre interview :

Les grandes vacances, c'est bien, surtout quand ca dure longtemps ! Alors il était important que nous nous focalisions sur ce merveilleux mois d'aout qui nous permet tant de décompresser et de nous amuser loin de toute agitation scolaire.. Focus on !

Historique :
Le mois d’août est le huitième mois du calendrier grégorien et julien. Son nom vient du latin Augustus, nom donné en l’honneur de l’empereur romain Auguste en 8 av. J.C.. Pour la petite histoire, Auguste ajouta un jour au mois d’août pour avoir autant de jours dans le mois qui porte son nom que dans celui au nom de Jules César (juillet). Avant lui, dans l’ancien calendrier romain, août était le sixième mois de l’année et portait le nom de sextilis (de sextus, sixième).

Célébration :
Le mois d'aout est, en France, considéré comme le second mois des congés scolaires annuels dans la saison estivale. Pendant ce mois, le calendrier nous propose le jour de l'assomption. Ce jour est férié et permet de profiter de quelques instants de soleil supplémentaires pour les non vacanciens. Dans la religion catholique, l'assomption est un dogme selon lequel, au terme de sa vie terrestre, Marie a été « enlevée corps et âme » au ciel.

Anecdote :
Le mois d’août a donné son nom à l’aoûtat, une larve d’acarien provoquant des démangeaisons et allergies à cette période, ou en fonction des régions, à des moustiques, libellules et autres insectes volants qui pullulent en fin de mois.

La discipline du mois, c’est le T.R.E.C ! C'est-à-dire Technique de Randonnée Equestre de Compétitions. Dans cette discipline, le cavalier doit maîtriser son cheval au trois allures, sur des terrains variés quelque soit la météo. Il doit aussi faire face, avec son cheval, à différentes difficultés : obstacles naturelles, buttes en terre, passages entre des plots ou sur une bâche, passages entre deux barres serrés et autre difficultés de différents niveaux que le cavalier doit savoir surmonter
Evidemment, il faut de l’entraînement ! Voici, pour vous entraîner, quelques explications…

L’entraînement :



Comment s’entraîne-t’on au T.R.E.C ?
D’abord, le cheval et le cavalier viennent sur un terrain de CROSS. Il s’entrainent sur plusieurs obstacles, tels que les contre-hauts, contre-bas, les fossés ou les rivières. Ensuite, le cheval va apprendre à passer sur une bâche, en dessous d’un pont, à faire des zig-zag entre les barres. Il faut aussi apprendre à lire une carte et à se servir d’une boussole. Le cavalier peut s’entrainer en forêt à cet exercice. Tout cela demande de l’entraînement et surtout beaucoup de patience ! Voici donc ci-dessous quelques conseils.

Passer sur une bâche : Faites lui renifler la bâche, rassurez-le, caressez-le. Surtout, dès que le cheval recule, ne tirez pas ! S’ il fait, ne serait ce qu’un pas, (même si il n’est toujours pas sur la bâche) félicitez le très fort ! Vous pouvez aussi marcher sur la bâche et faire du bruit avec, pour lui montrer que ce n’est pas dangereux. Avec ces conseils, de la patiente et du temps, vous y arriverez !



Monter dans un van : Il faut le familiariser avec le van. Tenu en longe, faites le tour du van avec lui. Il faut qu’il renifle le van. Aussi, vous pouvez l’amadouer avec des friandises. Sinon, un autre truc, c’est de mettre le van dans le pré avec de la nourriture dedans et de l’y laisser quelques jours. Réflexe de Pavlov : le cheval succombera à la tentation et va monter dans le van pour se nourrir.

Déroulement compet’

Un concours de T.R.E.C. comporte 4 phases successives, en 1 ou 2 jours.
• international (T5),
• fédéral (T4),
• qualification (T3),
• initiation (T2) débutant de + de 12 ans : P.O.R. sur voie publique
• accueil (T1) débutant de - de 12 ans: P.O.R. sur site privé

Phase 1 : Présentation de l’équipement pour la phase de P.O.R.
Il s’agit du contrôle du harnachement, de la propreté de la monture et de la présence de la trousse d’urgence, de la maréchalerie de secours et du matériel de sécurité (lampes, bandes réfléchissantes) prévus par le règlement, selon le niveau des épreuves.

Phase 2 : P.O.R. Parcours d’Orientation et de Régularité
Le 1er jour (ou la matinée dans un concours d’un jour), après avoir recopié un itinéraire sur une carte topographique, le cavalier se met en route, en lisant sa carte et en s’aidant de sa boussole , tout en respectant une vitesse imposée (de 6 à 12 km / h) grâce à son chrono. Des contrôles successifs dont la situation lui est inconnue, permettront de tester sa régularité.

Phase 3 : M.A. Maîtrise des Allures
Le lendemain ou l’après-midi, il faut parcourir une distance de 150 m dans un galop le plus lent possible suivi d’un pas le plus rapide possible, le tout sans rupture d’allure.

Phase 4 : P.T.V. Parcours en Terrain Varié
Le cavalier sera amené, dans cette dernière phase, à vaincre, dans un temps imparti, 16 difficultés naturelles ou construites, dérivées des difficultés rencontrées en randonnée équestre.

Et voilà ! C'est la Fin de notre Gazette ! Rendez-vous d'ici seulement peu de temps pour le numéro du mois de Septembre ! Encore de bien belles choses seront à lire ♥

Et voilà, le nouveau numéro de la gazette de Seventh' Heaven va plus vite que la musique ! Nous vous avions promit de rattraper notre retard, hé bien c'est chose faite ! Alors ne perdons pas de temps et découvrez dès à présent le numéro de Septembre ^^

Film de Bartabas, les 25 ans de la compagnie Zingaro racontés au travers des images de ses différents spectacles et des poèmes d'André Velter. '' Longtemps tenu pour une utopie équestre, le « galop arrière » exige du cheval et de son cavalier une complicité et une maîtrise inouïes, ainsi que l’exceptionnelle capacité de reculer sans cesser de faire face. Il était donc naturel que Bartabas, pour évoquer l’ensemble de son parcours et celui du Théâtre Zingaro, choisisse cet intitulé altier et de singulière perspective : une manière de remonter le temps sans revenir sur ses pas. Car s’il s’agit bien d’explorer et de ressusciter ici vingt-cinq ans d’aventures artistiques, le projet ne s’apparente en rien à une remémoration plus ou moins nostalgique. C’est un film original et accompli qui nous est offert. La fougue furieuse des Cabarets, les défis d’Opéra, la magie de Chimère, la pure beauté d’Éclipse, la célébration douloureuse de Triptyk, la méditation active de Loungta, le déboulé iconoclaste de Battuta, tout est là, et pourtant un surcroît d’histoire secrète, intime, entr’aperçue s’écrit, qui use des mots des poètes pour dire le sens d’une vie hors norme, risquée, irréductible, inspirée. Une vie définitivement en forme de destin cavalier. ''

" Un coeur d'Or "

" Rien ne va plus pour Pauline : son frère Sam est gravement malade. Heureusement, Minnie, la jument de Patty, la réconforte. Mais, quand la pouliche est mise en vente, Pauline craque. Elle décide alors d'abandonner le championnat d'équitation et retrouve Sam contre l'avis de ses parents. Le moment est venu pour Pauline d'affronter ses peurs afin d'aller de l'avant.. "

[ Résumé du Volume IV dans la prochaine gazette ]

Pour cette édition de Septembre, nous avons choisis de vous présenter une race étrangère, sportive, et présente en masse sur les terrains de compétitions et ce, quel que soit la discipline. Cette race, étant d'autant plus présente sur Seventh' Heaven.. Lumière sur le Trakehner !

~ Histoire ;

Le trakehner est la race de cheval de selle la plus ancienne d'Allemagne. Ses origines remontent au XVIIIe siècle dans l'ancienne province de la Prusse-Orientale à Trakehnen, aujourd'hui dans l'oblast de Kaliningrad (Russie). Il provient du croisement d'une souche locale avec des pur-sang arabes et des pur-sang anglais. La race est gérée par le Trakehner Verband qui tient le studbook et qui cherche à maintenir les critères de la race. Le trakehner est aujourd'hui un cheval de sport dans le sang avec beaucoup de chic, qui s'illustre aussi bien en dressage qu'en saut d'obstacles.
La race trakehner est la plus ancienne race de chevaux de selle en Allemagne. Elle est née en 1732 de l'initiative de Frédéric-Guillaume Ier de Prusse qui fonde le village de Trakehnen, en Prusse, avec un élevage à des fins militaires. L'élevage a aussi pour but de fournir la cour en montures pour les parades et les carrosses. Les croisements d'origine se trouvent être faits entre le Schweiken, race locale puissante et forte connue dès le XVIe siècle, avec des Pur-sang arabes et des pur-sang anglais. À la mort de Frédéric II, Frédéric-Guillaume II accède au trône en 1786 et reprend en charge le Haras royal. Il prend alors le nom de Haras principal du royaume de Prusse et a désormais, entre autres, une nouvelle mission : l'amélioration de la race locale. Une sélection impitoyable est alors réalisée et deux tiers des étalons et un tiers des juments sont écartés. C'est à cette époque que naît la marque appliquée sur tous les chevaux trakehner : des bois d'élan. La race a ensuite continué à être sélectionnée suivant les mêmes critères et l'apport régulier de sang arabe et anglais a été poursuivi. Après la Seconde Guerre mondiale, pour fuir l'armée soviétique le trakehner a vécu une épopée mythique de plus de 1 000 km (le Grand Trek), qui a eu pour conséquence d'appauvrir considérablement sa population. Celle-ci passe en effet de plus de 20 000 chevaux à 850. En 1947, naît le Trakehner Verband qui va chercher à maintenir les critères de sang de la race. Depuis 1960, la croissance de la race a repris et aujourd'hui on ne compte pas moins de 300 étalons et 4500 juments dans le studbook.

~ Description ;

Le trakehner est un cheval dans le sang avec beaucoup de chic qu'il tient de ses ascendants orientaux. Il fait preuve d'une grande longévité et d'une constitution très solide. Sa taille varie entre 1,60 m et 1,72 m. Il a une tête bien faite et expressive. Ses oreilles sont longues et son front est large. Son encolure est bien dessinée. Sa poitrine est profonde et ses épaules sont longues et obliques. Sa ligne dorso-lombaire est droite et sa croupe légèrement oblique. Ses membres sont musclés, ses articulations larges et sèches et ses canons courts. Le sabot est dure. C'est un cheval doté d'un bon caractère aussi bien que d'un tempérament calme et équilibré.

L'interview de ce numéro de la gazette va porter sur l'une des cavalière les plus vieilles de Seventh' Heaven ! Hé oui il existe encore aujourd'hui des anciens qui sont inscrits et actifs depuis les premiers jours d'ouverture du domaine ! Et ce mois-ci, c'est votre camarade Noémie Pageaut, et également monitrice de Dressage qui répond à nos questions !

C’est la fin des vacances, la rentrée des classes approche ! Attendue par certains, redoutée par d’autres, l’essentiel est de bien préparer sa rentrée ! Mais il ne s’agit pas uniquement de faire les courses aux fournitures scolaires la veille du jour J ! Voici les conseils de notre rédaction pour une rentrée à l’école réussie.

Sur le chemin de l’école…
Bientôt la rentrée scolaire. C’est votre première rentrée dans cette école ? Alors d’ici le jour J, faites le trajet pour aller à l’école au moins une fois. Une petite promenade est toujours agréable et le jour de la rentrée, vous serez moins intimidé !

Et mon grigri ?
Trop de stress, besoin d'un grigri porte bonheur ? Et hop le grigri dans le sac ! Grâce à lui on se sent en confiance, mais un seul suffit… inutile d’emmener tous ses objets préférés ! Il faut juste prendre celui à qui on peut confier tous ses secrets !

Maman, papa …
Dur, dur la séparation avec les parents pour certains, surtout lorsque l'on est en internat… mais les grosses larmes seront bien vite séchées ! Plein de nouveaux copains sont là pour s'amuser !

Dans mon cartable…
Les fournitures scolaires… on n’attend pas la dernière minute pour faire ses achats ! Les magasins risquent d’être surpeuplés, et les rayons rentrée des classes vides ! Certaines écoles donnent une liste avant la rentrée.

La veille de la rentrée :
On prépare son cartable ! Il ne s’agît pas seulement de tout acheter ! Il faut faire disparaître les emballages, remplir la trousse sans oublier de coller les étiquettes sur les cahiers, stylos et cie ! On choisit ses vêtements. On se fait beau, on se met à l’aise, tout en jetant un coup d’oeil à la météo ! On se couche tôt, et on n’oublie pas de mettre son réveil !

Le jour de la rentrée :
On se lève suffisamment à l’avance pour être à l’heure, tout en prenant son temps. Attention ! On ne fait pas sa rentrée à l’école sans un bon petit déjeuner !

Présentation
Le saut d’obstacles consiste à enchaîner un parcours d’obstacles sans faute. Les épreuves sont destinées à démontrer chez le poney/cheval sa franchise, sa puissance, son adresse, sa rapidité et son respect de l’obstacle et chez le concurrent, la qualité de son équitation. Le saut d’obstacles est la discipline leader en France. Elle représente plus de 80 % de l’activité concours, aussi bien en termes de compétiteurs, que d’épreuves ou d’engagements en compétition. Elle a cet avantage d’être une discipline facile à comprendre. Le néophyte voit si la barre tombe ou non et le chrono dit qui va le plus vite sur le tour. Même si des subtilités de jugement se rencontrent parfois, le verdict des barres et du chrono est accepté par tous. C’est une discipline qui devient de plus en plus technique. On allège les barres, on alterne les foulées longues où le cheval doit s’étendre et les foulées courtes où il doit se comprimer. On complique avec des options insensées pour gagner les barrages, comme un certain saut de buisson aux derniers JO…

Généralités
Cette discipline est souvent enseignée dès le niveau débutant car, outre son aspect ludique, elle permet au cavalier d’acquérir des qualités indispensables à l’équitation dans sa globalité comme l’aisance, l’équilibre et la confiance. En saut d'obstacles, le cheval et son cavalier doivent se trouver en harmonie. Le cavalier se doit de maîtriser de nombreux paramètres tels que l’impulsion, la vitesse, la trajectoire, le nombre et la longueur des foulées pour se garantir des sauts sans faute. En parallèle avec le travail sur les obstacles, un indispensable travail de dressage, de musculation et d'assouplissement sur le plat est réalisé pour que le cheval obtienne un dressage le plus fin possible et un potentiel physique optimal.

Technique
Le saut d'obstacles, de par ses spécificités, exige une technique équestre particulière. Afin que le cheval ait le dos plus libre et plus actif, le cavalier se tient très souvent en équilibre sur ses étriers. Les étriers sont réglés plutôt courts pour mieux suivre le cheval lorsqu'il saute. Le cavalier peut ainsi prendre appui dessus et déplier son corps et ses bras quand le cheval s'étire pendant le planer du saut. Le cheval a besoin de toute sa capacité athlétique pour enchaîner les obstacles. Aussi le cavalier se doit de communiquer avec lui par des moyens les plus légers et les plus discrets possibles, en évitant autant que faire se peut de perturber sa motricité et son équilibre. Toutefois, sur certains sujets, les points de vue divergent et peuvent être la source de bien des discussions. Certains cavaliers utilisent des techniques qui conviennent bien à certains chevaux et cavaliers, mais moins aux autres.
C'est à chacun de faire la part des choses avec sa sensibilité, son expérience et ses chevaux. Toute sa vie, le cavalier cherchera sa propre équitation, puisant dans son expérience et s'aidant de ce que peut lui apporter l'expérience des autres. Au final, ce sont ses chevaux, s'il sait les écouter, qui lui diront s'il se trouve sur la bonne voie ou non.

Différents obstacles

Vertical = Tout l'obstacle est construit selon un seul plan vertical. On peut aussi appeler ce type d'obstacle, un droit. Un mur est un obstacle entièrement constitué de pièces empilées de forme rectangulaire représentant des briques ou des pierres taillées. Un croisillon est un vertical composé de deux barres dont une extrémité repose sur le sol, formant ainsi une sorte de croix. Le croisillon est notamment utilisé pour éduquer les jeunes chevaux au saut d'obstacles, car la partie basse de la croix les incite à sauter au milieu de l'obstacle avec franchise. Un double croisillon est un croisillon installé a l'horizontale, soit sur 2 chandelles somme un oxer.

Oxer = L'oxer est un obstacle sur deux plans. La largeur peut-être plus importante que la hauteur. Pour sauter un oxer le cheval se rapproche de son pied (bas de l'obstacle) afin de couvrir toute la largeur. On dit qu'un cheval doit couvrir l'obstacle pour signifier qu'il doit s'étirer afin de bien sauter toute la largeur de l'oxer sans toucher. Il existe le croisillon oxer, l'oxer carré, l'oxer éventail, l'oxer montant, et l'oxer polonais.

SPA = Un obstacle triple-barres" est un obstacle construit sur 3 plans. Cet obstacle est souvent appelé "barres de spa" bien qu'il existe quelques différences. En effet, le spa est généralement constitué de plus de 4 plans, mais surtout, le premier plan est au niveau du sol et les suivants montent selon un angle d'une quarantaine de degrés. Cette forme d'obstacle a été créée à Spa en Belgique. Dans un parcours, la barre la plus haute de ce type d'obstacle peut être de 5 cm supérieure aux autres obstacles.

Rivière = La rivière est un obstacle redoutable à un petit niveau de compétition car les occasions d'entrainer les chevaux sur ce type d'obstacle sont rares pour un cavalier amateur. De plus, les rivières en dur sont de plus en plus rares car elles occupent une place fixe inexploitable pour autre chose dans une carrière d'exercice. Dans les concours, pour remplacer les anciennes rivières fixes (en dur), on utilise très souvent des sortes de bidets géants. Cela confère au chef de piste une grande liberté puisque ainsi, il peut changer la rivière de place d'une épreuve à l'autre au cours d'un même concours.

Double = Un double est constitué de deux obstacles élémentaires disposés sur une ligne et séparés par une à trois foulées. Le double le plus facile à négocier est le double de verticaux à deux foulées, le plus difficile étant le double d'oxers à une foulée. Le double à option ou double optionnel est un type particulier de double. Un des éléments de la combinaison est composé de deux obstacles montés côte à côte et les concurrents choisissent l'obstacle à sauter. Ce type de combinaison doit permettre au cavalier qui choisit l'option la plus difficile, de gagner du temps pour aborder l'obstacle suivant. Le double à option est souvent employé dans les épreuves dites de chasse ou se disputant au barème C.

Triple = Un triple est constitué de trois obstacles élémentaires disposés sur une ligne et séparés par une à trois foulées. Le triple le plus facile à négocier est le triple de verticaux à deux foulées + deux foulées, le plus difficile étant le triple d'oxers à une foulée + une foulée.

Et voilà ! C'est la Fin de notre Gazette ! D'ici quelques jours paraitra celle du mois d'octobre hé oui ! Ca vas vite hein ?! C'est bien normal on est géniales ♥

Oyé oyé chers cavaliers, stoppez net ce que vous êtes en train de faire, la gazette est arrivée ! Hé oui, grâce à une équipé journalistique qui commence à se remplir, le travail avance vite et nous rattrapons notre retard ! Voici sans plus tarder le numéro du mois d’octobre =)

Trois ans après une rupture dramatique qui a bouleversée son existence, Alexandra réapprend à vivre et à aimer grâce à la rencontre troublante d’un vieux maître d’équitation et de son cheval. Un concours d’obstacles, un cheval, une cavalière. Elle monte à cheval comme on monte ici, en sautant des barres, des murs, des haies ; pas de refus, pas de dérobade. Elle vit comme on vit ici, en avalant les obstacles les uns derrière les autres, toujours plus vite, toujours plus haut. Jusqu’au point de rupture, la chute et la mort de son cheval, la trahison et la mort de son mari, qui la laissent terrorisée et exsangue, incapable de comprendre et de se relever, incapable de remonter à cheval, d’aimer à nouveau, de vivre. Une carrière sans obstacle, une écurie vide, un vieux cheval blanc, un vieil homme. Il n’a jamais sauté une barre, un mur, une haie, jamais fait de parcours, jamais gagné de compétition, et pourtant il fait danser les chevaux comme personne, dans la douceur et l’harmonie, dans une compréhension mutuelle, une intelligence équestre délicate et profonde mais qu’il n’a jamais réussi à mettre au service de sa vie. Avec lui, elle va transcender sa peur et se remettre en selle, découvrir un autre rapport aux chevaux, aux hommes, réapprendre à vivre, autrement… Avec elle, il va découvrir le besoin de transmettre, le plaisir de donner, le bonheur d’aimer.

" Victoire à l’arrachée "

" Mélanie n'a plus le droit à l'erreur: si ses notes ne s 'améliorent pas, ses parents l'enverront dans une autre école. La jeune fille travaille jour et nuit, mais l'épuisement la guette. Heureusement la fête de l'école approche, et Mélanie s'y investit beaucoup. Ce sera l'occasion de montrer à ses parents tout ce dont elle est capable. Si elle tient le coup jusque-là…"

[ Résumé du Volume V dans la prochaine gazette ]

Pour cette édition du mois d’octobre, notre équipe a décidé de mettre en lumière une des races les plus connues et des plus apprécié dans le monde des sports équestres. Il s’agit en effet du Poney Français de Selle !

~ Histoire ;

Le poney français de selle est d'origine récente. Il est né en 1969 grâce à l'initiative de l’Association Française du Poney de Croisement, désireuse de faire produire, sélectionner et valoriser ces poneys dans l’optique de produire un poney de sport. Pour cela elle crée le studbook du poney de croisement, qui resta très ouvert jusqu'en 1991, et donne les premiers agréments d’étalons poneys. Les premiers croisements étaient réalisés entre des ponettes autochtones d’origine française comme le Pottok et des étalons de race Connemara, New forest, Welsh et Pur-sang arabe. C'est en 1991 que le poney de croisement fut rebaptisé poney français de selle. Depuis l’Association Nationale du Poney Français de Selle et du Poney de Sport (ANPFS) continue à gérer le livre généalogique de la race et à agréer les reproducteurs. Ceux-ci doivent appartenir à la race ou à l'une des races admises dans la grille de croisement1. Tous les étalons doivent être agréés par une commission. L'association organise aussi chaque année au mois d'août une importante manifestation : le Sologn'Pony.

~ Description ;

La taille varie entre 1,25 m et 1,48 m et le type standard n'existe pas car il est assez différent suivant l'origine des races qui le compose. Les critères recherchés sont l'apparence d'un petit cheval de selle. La tête a un profil rectiligne ou légèrement convexes. Les yeux sont vifs, les oreilles petites et la crinière fournie. Ce poney doit être harmonieux, équilibré, distingué avec un dos solide, des aplombs réguliers, une bonne épaule et un garrot bien sorti. Une poitrine large et profonde annonce de bonnes dispositions pour le saut. Destiné avant tout aux enfants, ce poney doit faire preuve d'un bon caractère, mais en raison de son influx de sang, il reste relativement vif. Toutes les robes sont admises.

L'interview de ce numéro de la gazette va porter sur l'une des cavalière les plus actives et les plus anciennes du domaine, à savoir votre camarade Katialin Sallenave ! Hé oui, chuchoteuse de talent, il est désormais l’heure pour nous de vous présenter son interview !

L'Halloween ou Halloween (sans déterminant) est une fête célébrée dans la soirée du 31 octobre, veille de la Toussaint, dont elle tire son nom puisque Halloween est une contraction de l'anglais All Hallows Eve, autrement dit the eve of All Saints' Day en anglais moderne, ce qui signifie la « veillée de la Toussaint ».

Cette fête, originaire des îles Britanniques, est célébrée principalement en Irlande, au Canada, en Australie, en Grande-Bretagne et aux États-Unis. La tradition moderne la plus connue veut que les enfants se déguisent avec des costumes qui font peur (fantômes, sorcières, monstres, vampires par exemple) et aillent sonner aux portes en demandant aux adultes, souvent eux-mêmes déguisés, des bonbons, des fruits ou de l'argent avec la formule : Trick or treat! (« Farce ou friandise ! ») ou simplement « Happy Halloween! ». D'autres activités incluent des bals masqués, le visionnage de films d'horreur, la visite de maisons « hantées » ou d'allumer des feux de joie en plein air.

L'Halloween est une fête folklorique anglo-saxonne, communément considérée comme en partie héritée de la fête religieuse celtique de Samain qui se tenait à la même date en Irlande et en Écosse avant qu'elle ne soit progressivement supplantée par la Toussaint introduite le 1er novembre par l'Église catholique aux environs du VIIIe siècle. Ce n'est qu'au milieu du XIXe siècle que cette tradition gagna en popularité en Amérique du Nord après l'arrivée massive d'émigrants irlandais et écossais qui s'installèrent sur le nouveau continent notamment pour fuir la Grande famine en Irlande.

Le principal symbole d'Halloween est la citrouille issue de la légende irlandaise de Jack-o'-lantern : elle est découpée pour y dessiner, en creux, un visage, puis une bougie ou une lumière artificielle est placée en son centre.

Le horse-ball est un sport collectif équestre adapté du jeu du Pato argentin, qui se joue avec une balle munie de six sangles avec l'objectif d'aller marquer des buts dans le camp adverse.

Règles du jeu

Lors d'une rencontre de horse-ball, les deux équipes présentes sur le terrain sont composées de quatre joueurs appelés "horsers" et de deux horsers de réserve. Chacun des six horsers dispose de son cheval; les remplacements s'effectuent exclusivement lors des arrêts de jeu. Les joueurs se disputent un ballon muni de six sangles de cuir -appelé "bozz"- afin d'aller marquer des buts dans le camp adverse en faisant un minimum de trois passes. La balle mesure 65 cm de circonférence (ballon de foot de taille 4). Selon la catégorie des joueurs, cette taille peut varier.

Lors de la pratique de cette discipline, les contacts sont très fréquents, et les cavaliers encouragent souvent leurs chevaux à aller énergiquement au contact des autres pour les marquer, afin de permettre au cavalier de subtiliser le ballon adverse, voire de dévier la trajectoire de l'adversaire. Les chevaux sont lancés dans des galops effrénés. Ces manœuvres sont néanmoins très réglementées (pour des raisons de sécurité évidentes), notamment au niveau de l'angle de l'impact, et de l'interdiction formelle de marquer un joueur en situation de ramassage, donc vulnérable. Seul le horser en possession du bozz peut être "attaqué".

Le horse-ball est une discipline qui met l'accent sur le jeu collectif. En effet, chaque équipe doit effectuer un minimum de trois passes entre trois horsers différents avant de pouvoir tenter de marquer un but. C'est également un sport où, étant donné le faible nombre de joueurs, la polyvalence est de mise. Les seules spécialisations qu'on observe réellement sont celles en cas de situation de balle arrêtée: les touches et les pénalités, ainsi qu'au poste de "mouche", qui est un cavalier se plaçant volontairement en position de défense très haute afin de perturber la construction de l'attaque de l'équipe adverse.

Les cavaliers ayant souvent les deux mains occupées par le bozz, le cheval dispose d'une grande liberté d'action, et son dressage (en plus du dressage traditionnel visant à accroître sa mobilité) inclura l'intégration d'automatismes, notamment sur les marquages et les trajectoires. D'ailleurs, les chevaux apprécient souvent cette discipline en raison de la liberté relative qui leur est accordée, ainsi que du contact avec des congénères, qui permet de satisfaire leur instinct grégaire.

Et voilà ! C'est la Fin de notre Gazette ! D'ici quelques jours paraitra celle du mois de novembre, bha oui on ne chôme pas (plus) ^^. Alors à très vite !

Ca y est, revoilà l'équipe de choc spéciale gazette qui est de retour ! et la gazette en prime ! A trois nous avons réussit à combler ce trop grand vide.. Et nous aurons bientôt finit. Désormais la gazette vit ! Alors place au numéro de novembre hihi !

Kevin Doherty a 16 ans. Il a perdu son père qui était un jockey réputé et, depuis, ne rêve que de suivre sa trace. Employé dans une écurie isolée, Kevin se retrouve au milieu d'une bande de voleurs qui viennent de kidnapper Shergar, le meilleur cheval de course de toute l'Irlande. Ce cheval célèbre ne passe pas inaperçu aux yeux de Kevin. Le jour où celui-ci entend qu'il est question de tuer l'étalon, il décide de prendre la fuite avec l'animal et change ensuite son apparence pour mieux le cacher. Chemin faisant, il a la chance de rencontrer Joe Maguire, un entraîneur un peu poète, et sa petite fille Kate.

" Esprit d'équipe "

" Un vent de rébellion souffle sur Chestnut Hill. Depuis qu'elles ont perdu le concours d'équitation, quelques cavalières se sont liguées contre leur directrice, Mme Carmichael. Un coup dur pour Margaux. Bien décidée à soutenir sa tante, la jeune fille se retrouve abandonnéee par ses amies . Désormais, l'avenir de l'équipe est menacé…"

[ Résumé du Volume VI dans la prochaine gazette ]

Pour cette édition de la gazette, nous avons décidé de faire un focus sur l'une des race également très présente au sein des écuries, tout comme dans le milieu des sports équestre ; à savoir.. le hanovrien !

~ Histoire ;

Les origines du hanovrien remontent au XVIIe siècle, à Hanovre (Allemagne), capitale du Land de Basse-Saxe. À l’époque, dans la région, on commençait à rechercher et donc par la suite à sélectionner des bons chevaux de selle pour les soldats, pour l’armée. Ces chevaux devaient aussi faire preuve d’élégance et de raffinement, afin de tirer les attelages des aristocrates. En 1714, Georges Louis, électeur de Hanovre, accéda au trône de roi d’Angleterre, sous le nom de Georges Ier. Il importa des chevaux de Hanovre pour les atteler aux carrosses royaux. George II, roi de Grande-Bretagne et duc de Brunswick-Lunebourg, fils de George Ier, fonda en 1735 le haras de Celle, situé à environ 40 kilomètres de Hanovre, dans le Land de Basse-Saxe. L’élevage sélectif commença à ce moment-là : les juments de Hanovre furent croisées avec des étalons Holstein. On obtint alors des chevaux de trait polyvalents, dont on avait besoin, à l’époque. Des croisements avec d’autres Pur-sang allégèrent le Hanovrien, ce qui donna de très bons chevaux de selle et d’attelage, légers, mais quand même assez forts et robustes pour le travail des champs. Les guerres napoléoniennes massacrèrent le Haras de Celle : il restait une trentaine d’étalons au Haras, alors qu’avant les guerres, il y en avait plus de 100. Il a donc fallu relancer l’élevage en croisant le Hanovrien avec des Mecklembourg et des pur-sang. Au milieu du XIXe siècle, le Hanovrien devint donc un cheval de selle très agréable : bien plus léger avec beaucoup de dynamisme. Et il était donc moins adapté aux travaux agricoles. De nouveaux croisement furent effectués afin d’obtenir à nouveau un cheval puissant et solide, pour les agriculteurs et le travail au champ. La Seconde Guerre Mondiale arriva. La plupart des races de chevaux d’attelage et de selle de type ancien, dont le Hanovrien, en souffrirent : elles subirent un fort déclin. La mécanisation de l’agriculture participa, en outre, à cette chute de la race. Afin de conserver la race, des croisements furent alors effectués entre le Hanovrien et plusieurs autres races : Trakehner et Pur-sang Arabe. Le Hanovrien devint alors également un très bon cheval de selle pour les compétitions de sports équestres : il fut affiné, rendu athlétique et harmonieux. Ses qualités premières, de cheval de travail aux champs, furent conservées : force, constance, robustesse. Aujourd’hui, le Hanovrien est un excellent cheval de compétitions internationales de sports équestres, s’illustrant très régulièrement en haut de tableau, essentiellement en dressage, en saut d’obstacles et en concours complet.

~ Description ;

Le Hanovrien est un grand cheval imposant. Il possède une belle tête fine, de taille moyenne au front large, et au regard calme et doux. L'encolure est longue, le poitrail est large et profond. Le dos est droit et allongé. L'arrière-main est puissante et bien musclée, la queue est attachée haut. Les membres sont solides, musclés et forts, et possèdent des articulations larges et sèches; les tendons sont résistants et bien détachés. Le pied est dur, et bien conformé. Hauteur au garrot : de 1,55 m à 1,73 m, la moyenne étant de 1,63 m. Robes admises : bai, alezan, noir, gris, blanc, plus rarement isabelle et souris. Ce cheval est courageux, toujours prêt à faire des efforts pour son cavalier. Il a un caractère aimable, équilibré et tranquille tout en étant joyeux et vif.

L'interview de ce numéro de la gazette va une fois de plus se focaliser sur l'une des plus anciennes cavalière du domaine. Votre palefrenière la plus fidèle Camille Monroe !

Le dernier jeudi du mois de novembre, tout les américains se réunissent en famille pour partager la traditionnelle dinde de Thanksgiving et le gâteau au potiron. "Thanksgiving" veut dire "Action de grâces". La fête s'appelle ainsi en remerciement aux Indiens et au Ciel d'avoir permis aux premiers pèlerins venus d'Angleterre de s'installer et de vivre sur le sol américain grâce aux bonnes récoltes qu'ils ont pu y faire.

La création de Thanksgiving :

Les pèlerins se sont établis à Plymouth Rock le 11 decembre 1620. Leur premier hiver fut dévastateur. Au début de l'automne suivant, 46 étaient morts sur les 102 qui étaient venus sur le "Mayflower". Mais, la moisson de 1621 fut une des plus réussies si bien que les colonisateurs restant déciderent de fêter ca. Cette fête était plus une traditionnelle "fête de la moisson" à l' anglaise qu'une vraie tradition de Thanksgiving. Cela dura 3 jours. Cette fête de "Thanksgiving" ne fut pas reproduite l'année suivante. Mais, en 1623, lors d'une sécheresse sévère, les pèlerins se regroupèrent pour prier et invoquer la pluie. Quand une pluie dense et continue apparut le jour suivant, le Gouverneur Bradford proclama un nouveau jour de Thanksgiving, invitant de nouveau les Indiens. Ensuite, ce ne fut pas avant Juin 1676 qu'un autre jour de "Thanksgiving" fut proclamé. Le 20 Juin 1676, le conseil de Charlestown, Massachusetts, se réunit pour déterminer quelle était la meilleure période de l'année pour exprimer sa reconnaissance envers la bonne fortune qui avait permis a leur communauté de s'établir. A l'unanimité, ils décident de proclamer le 29 Juin comme jour de "Thanksgiving". Énormément de présidents et de gouverneurs se succédèrent, choisissant chacun leur jour de Thanksgiving... Finalement c'est en 1863, que le Président Lincoln proclama le dernier Jeudi du mois de Novembre journée nationale de Thanksgiving. Thanksgiving fut proclamée par chaque président après Lincoln. La date changea de temps en temps, elle fut notamment modifiée par Franklin Roosevelt, qui l'instaura une semaine à compter du dernier jeudi du mois de facon à allonger la saison de shopping de Noel. Le public protesta tellement contre cette décision que le président la remit à sa date originale 2 ans plus tard... C'est durant la présidence de Franklin Delano Roosevelt, en 1941, que Thanksgiving fut finallement déclarée "legal holiday" par le Congrès et fut instaurée le 4eme jeudi du mois de Novembre... De nos jours, les américains célèbrent Thanskgiving où qu'ils soient.
Le côté religieux joue une part moins importante qu'autrefois, les réunions de famille sont de circonstance.

Lors de cette fête, la nourriture prime :

Que les pèlerins en aient mangé ou non lors de leur premier Thanksgiving, la dinde est définitivement liée à cette fête. La sauce à la canneberge, et la tarte à la citrouille font elles aussi toujours partie du repas. La citrouille est le légume qui sauva les pèlerins durant ce terrible premier hiver et est devenue presque aussi importante la dinde. Le partage du dîner de Thanksgiving avec la dinde est une coutume typiquement américaine.

L'endurance est une course de fond pratiquée à cheval et en pleine nature, dans laquelle le but est de parcourir une longue distance : de 20 km à 160 km en une journée, ou 2 x 100 km sur deux jours. Cette course chronométrée doit être réalisée le plus rapidement possible tout en conservant une monture en parfait état de santé. Des contrôles vétérinaires obligatoires sont effectués de façon régulière tout au long du parcours. Ils garantissent la bonne santé du cheval car en cas de doute (épuisement, boiterie, déshydratation…) celui-ci est disqualifié. Tout au long de l'épreuve, l'effort de l'animal doit donc être maîtrisé.

L’endurance équestre est l’une des six disciplines équestres mondiales agréées par la fédération équestre internationale et est donc présente aux Jeux équestres mondiaux. Il existe plusieurs types d'épreuves d'endurance qui sont différenciés par le nombre de kilomètres parcourus. La pratique de la discipline est abordable par tout cavalier et tous types de chevaux, mais pour concourir en endurance à partir d'un certain niveau, il est préférable de choisir une monture au type adaptée à la discipline, comme le pur-sang arabe, et de s'équiper d'un matériel spécifique. L'endurance fait aussi l'objet de compétitions officielles internationales dont les épreuves se courent sur les distances maximales.

Types d'épreuves

Il existe deux catégories d’épreuves se décomposant en plusieurs types liés à la distance à parcourir : les épreuves à vitesse limitée et les épreuves à vitesse libre.

- Épreuves à vitesse limitée = Les départementales 20 : 20 km en une étape où la vitesse est limitée de 10 à 12 km/h ou 12 à 15 km/h. Les départementales 30 : 30 km en une étape où la vitesse est limitée de 10 à 12 km/h ou 12 à 15 km/h. Les régionales 40 : 40 km en deux étapes où la vitesse est limitée de 12 à 15 km/h.
Les régionales 60 : 60 km en deux étapes où la vitesse est limitée de 12 à 15 km/h.
Les épreuves de 20 km se déclinent sous différentes formes en fonction du type de circuit. Les concours Club et Jeunes Chevaux se courent entre 10 et 12 km/h, alors que sur les circuits amateurs et professionnels, il est demandé une vitesse de 12 à 15 km/h, vitesse valable aussi sur le circuit Club pour qualifier sur 40 km. Il existe aussi des épreuves de 20 km en deux étapes ou des épreuves de 10 km pour les poneys. Au niveau du système de notation, le classement est établi à la fois en fonction de la vitesse et en fonction de la fréquence cardiaque finale. Le gagnant n'est donc pas le plus rapide, mais celui qui a su aller le plus rapidement possible, sans dépasser la vitesse imposée, tout en ayant la monture la plus « fraîche » possible
- Épreuves à vitesse libre = La nationale 1 étoile : 90 km en trois étapes où la vitesse minimum est de 12 km/h.La nationale 2 étoiles : 120 à 125 km en quatre étapes où la vitesse minimum est de 12 km/h. La nationale 3 étoiles : 140 à 160 km en cinq étapes ou 2 x 100 km en six étapes où la vitesse minimum est de 12 km/h. Les concours d'endurance internationaux (CEI et CEIO) possèdent les mêmes exigences de distances et de temps, mais obéissent aux règlements de la fédération équestre internationale (FEI). Pour les épreuves à vitesse libre, le classement est obtenu selon l’ordre de franchissement de la ligne d’arrivée. Le gagnant est validé après un dernier contrôle vétérinaire et l'accord du président du jury.

Déroulement

Une épreuve d'endurance comporte plusieurs étapes dont voici la description.

- Accueil = À l'arrivée sur le site de la course, le cavalier doit se présenter et récupérer son dossard, la carte du parcours, la carte et le « road book » pour l'équipe suiveuse, ainsi que la carte vétérinaire de son cheval. Il en profite pour repérer l'aire de contrôle vétérinaire, les points d'eau et les lignes de départ et d'arrivée. Il se renseigne sur le balisage utilisé, les difficultés particulières qu'il peut rencontrer sur la piste et s'informe du nombre exact de kilomètres à parcourir. En effet, le parcours à réaliser possède une tolérance quant au nombre exact de kilomètres, cette marge s'étalant entre 2 et 15 km en fonction du type d'épreuve. La connaissance de la distance à parcourir est particulièrement importante pour le cavalier puisqu'elle lui permet de calculer la vitesse moyenne qu'il doit maintenir sur la piste et ainsi de déterminer sa fourchette horaire.
- Vétérinaire = mesurant le rythme cardiaque d'un cheval lors du contrôle.Premier contrôle vétérinaire Avant de prendre le départ, le concurrent se présente au contrôle vétérinaire pour s'assurer que sa monture est apte à prendre part à la course. Il présente les papiers de son cheval au contrôle et sa carte de suivi vétérinaire. Le vétérinaire fait passer des tests d'usage à l'animal à savoir mesurer sa fréquence cardiaque, vérifier ses allures, son niveau d'hydratation et la présence éventuelle de blessures. Le cavalier ne doit pas hésiter à prévenir le vétérinaire de la présence d'anciennes cicatrices ou blessures.
- Départ = Après des exercices d'assouplissement et de détente très souvent au pas, le couple cavalier-cheval se présente au responsable sur la ligne de départ, et celui-ci inscrit sur sa carte son heure de départ. Sur les parcours à vitesses imposées, les départs se font en décalé. Le cavalier peut donc choisir de partir seul ou en groupe. Sur les parcours à vitesse libre, en revanche, les départs se font groupés. Une fois le chronomètre lancé, la course peut démarrer.
- Première boucle = La première boucle s'effectue en suivant le balisage du parcours. Le cavalier cherche à régler sa vitesse tout en ménageant son cheval. La principale difficulté de cette première boucle est la gestion de la fougue de l'animal, qui, ravi de pouvoir courir, risque de se fatiguer inutilement en début de course, ce qui peut lui faire manquer de fond pour la finir. Tous les 5 km environ, le cavalier retrouve son équipe suiveuse, qui est en charge de rafraichir cheval et cavalier tout au long de la course.
- Halte intermédiaire = Sur une épreuve à vitesse imposée, le franchissement de la ligne d'arrivée de l'étape déclenche l'arrêt du chronomètre. Le cavalier a alors une heure avant son second départ. Au bout de 30 minutes d'arrêt, il doit se représenter au contrôle vétérinaire pour vérifier l'état de son cheval avant d'attaquer une nouvelle boucle. Les 30 premières minutes sont donc consacrées aux soins du cheval et à sa récupération en vue du contrôle. Une fois le contrôle passé, le cavalier peut se reposer pendant les 30 minutes restantes et se préparer pour la seconde boucle. Sur une épreuve à vitesse libre, le chronomètre continue de tourner après le franchissement de la ligne d’arrivée de l’étape. Il ne s'arrête que lors de l'entrée du cavalier et du cheval dans l’aire de contrôle vétérinaire. On appelle « temps neutralisé » le temps passé par le cavalier et sa monture dans l’aire de contrôle. Le délai maximum pour passer au contrôle vétérinaire est de 20 minutes, et un réexamen est obligatoire 10 minutes avant de repartir sur la dernière boucle.
- Boucles suivantes = Les boucles suivantes se déroulent de la même façon que la première boucle. En fonction de la distance à parcourir, celles-ci peuvent être différentes de la première ou alors identiques.
- Arrivée = À la fin de la course, le responsable du chronomètre inscrit l'heure d'arrivée. Le cavalier a 30 minutes pour présenter son cheval au contrôle vétérinaire qui se déroule de la même façon que les contrôles précédents.
- Après l'épreuve = Si le cheval réussit sa course dans le temps imparti et en ayant passé tous les contrôles vétérinaires avec succès, il est qualifié sur la distance et peut prétendre s'engager sur une épreuve de difficulté supérieure. On assure à l'animal un temps de repos relatif d'une semaine par tranche de 20 km parcouru.

Et voilà ! C'est la Fin de notre Gazette ! D'ici les prochains jours paraitra celle du mois de décembre ^^. Alors à très vite !

Mais on ne s'arrête plus ? Hé non, on ovus l'avez promit, alors on s'y tient ! la gazette avance, court, galope vole ! Et le retard prit depuis l'ouverture il y a de ca bien des années, rapetisse petit à petit ^^ Alors nous vous présentons sans plus tarder le numéro du mois de décembre. Bonne lecture les amis !

Révoltée par la vente du cheval d’obstacle qu’on lui avait promis, Gracieuse, cavalière surdouée, claque la porte de l’élevage qui l’employait. Elle redémarre à zéro en acceptant de rentrer comme palefrenière dans le haras de dressage qui jouxte la ferme de son père. La propriétaire, Joséphine de Silène, y exploite d’une main de fer la renommée internationale d’un entraineur allemand, Franz Mann, ancien champion cynique et usé dont les riches cavalières du monde entier se disputent le savoir - mais aussi le regard ! Ce microcosme de pouvoir et d’argent n’attend pas Gracieuse qui n’a pour seules richesses que son talent, son caractère bien trempé et surtout sa rage d’y arriver. Branchée sur 100 000 volts, prête à affronter Franz Mann lui-même et tous les obstacles - jusqu’à se mettre hors-la-loi, elle poursuit son unique obsession : avoir un cheval pour elle, qu’elle emmènerait au sommet.

" Tout ou rien "

" Laurie va-t-elle tenter le concours pour le très sélectif stage d'été ? Caleb, le garçon qu'elle aime en secret, compte lui aussi le passer. Mais, si elle est retenue, Laurie ne pourra pas voir son père avant l'automne, ni Tybalt, son cheval préféré ! Rejoindre un cercle de cavaliers aussi fermé serait un honneur, mais est-elle prête à en payer le prix ? "

[ Résumé du Volume VII dans la prochaine gazette ]

Pour cette édition de la gazette, nous mettons en lumière un poney cette fois, et plus précisément le New Forest ! Car comment ne pas parler de leur petite bouille si adorable ?

~ Histoire ;

Les premières informations concernant le New Forest remontent au XIe siècle, où la présence de poney est signalée dans la région de New Forest, dans le sud-ouest du Hampshire. Peu après, la zone fut déclarée réserve de chasse royale par Guillaume II le Roux qui y mourut, peut-être assassiné. Le New Forest est issu de nombreux croisements au fil des siècles. Dès 1208, le Welsh a été utilisé pour améliorer la race. En 1765, on compte sur l'utilisation de l'étalon pur-sang Marske, un célèbre cheval de course. En 1852, la race compte alors sur le prêt de l'étalon arabe Zorah par la reine Victoria, mais son apport restera mineur. En 1889, la reine prête deux nouveaux étalons pour l'amélioration de la race : l'étalon arabe Abeyan et l'étalon barbe Yirrassan. Sous l'impulsion de Lord Arthur Cecil et Lord Lucas, on utilisera ensuite des poneys Highlands, Dales, Fells, Dartmoors, Exmoors et Welshs pour la reproduction. En 1918 et 1919, on notera aussi la présence du poney de polo Field Marshall, ce qui peut expliquer les aptitudes du poney New Forest pour ce sport. Le studbook fut créé en 1910 et depuis 1930, on cherche à fixer les caractéristiques originelles de la race en évitant le croisement avec d'autres races. La race est aujourd'hui gérée par la New Forest Breeding and Cattle Society qui a créé son propre studbook en 1960. La race a été reconnue en France en 1969.

~ Description ;

Du fait d'origines diverses, le type est assez variable. Toutes les robes sont acceptées par le stud book à part le pie et le crème aux yeux bleus. Un poney New Forest mesure entre 1,20 m et 1,48 m, la plupart des poneys étant tout de même de taille élevée. Dans l'ensemble, le New Forest est un poney solide mais élégant. Il a une belle tête au profil rectiligne et un regard intelligent. Son encolure est moyenne et forte, sans être grosse. L'épaule est longue et oblique. La ligne dorso-lombaire est droite et longue. Ses membres sont solides et déliés. Et son pied est sûr sur terrain accidenté. Il est tout à fait capable de supporter le poids d'un adulte. Du fait de la sélection depuis une dizaine d'années, il abandonne peu à peu son aspect rustique pour devenir un vrai poney de sport. De plus en plus croisé, on le retrouve dans les origines d'une grande partie des poneys français de selle de compétition actuellement. La caractéristique la plus remarquable du New Forest reste son caractère. En effet, il est gentil et aime la compagnie. Il est très apprécié des jeunes cavaliers et de leurs parents qui peuvent, dès les premières sorties en concours, s'assurer de la sécurité et des performance des parcours. En extérieur c'est un poney peu impressionnable.

Notre interview n’en est pas vraiment une en réalité. Bien qu’elle concerne le cavalier le plus actif du mois, cela va de soit, celle-ci ne se fera pas sous forme d’interrogatoire car notre cavalier ne fait, à l’heure actuelle, plus partit des membres à cause d’une inactivité trop prolongée malgré sa justification. Place à Valentine Libse !

Noël est une fête chrétienne célébrant chaque année la naissance de Jésus de Nazareth, appelée Nativité, fixée au 25 décembre dans les calendriers grégorien et julien (c'est-à-dire le 7 janvier du calendrier grégorien) par la plupart des Églises. À l'origine, il existait à la même date une fête païenne marquant, sous différentes formes, le solstice d'hiver.

Au XXIe siècle, Noël revêt un aspect largement profane. Elle est devenue un moment de l'année célébré aussi par des non-croyants. Cette fête est caractérisée par un regroupement des cellules familiales autour d'un repas et d'un échange de cadeaux, particulièrement (mais pas seulement) à destination des enfants, qui dans plusieurs pays occidentaux associent ces cadeaux au personnage du Père Noël.

Célébration :

Sa célébration à la date du 25 décembre, se situe dans le calendrier julien pour les Églises orthodoxes, et dans le grégorien pour l'Église catholique romaine et protestante ; le jour de la saint Emmanuel, a été fixée tardivement dans l'empire romain d'Occident, vers le milieu du IVe siècle. C’est à partir du IIIe siècle que certaines communautés chrétiennes cherchent à situer dans l’année la date de naissance de Jésus. Avant de la placer à la date d'une célébration solaire liée au solstice d'hiver, de nombreuses dates furent proposées : 6 janvier (correspondant à l'Épiphanie, date choisie par les Basilidiens vers la fin du IIe siècle et reprise par les communautés chrétiennes d’Orient), 28 mars (mention dans De Pascha Computus, un calendrier des fêtes datant de 243), 18 novembre (date proposée par Clément d'Alexandrie)... Le 25 décembre marquait depuis Aurélien (v.270) l'anniversaire du Sol Invictus. Pour des raisons symboliques, et dans un souci de christianiser les anciennes fêtes païennes, cette date fut progressivement étendue à tout l'Occident latin. Les Églises orthodoxes, qui ont conservé le calendrier julien, célèbrent Noël le 25 décembre de ce calendrier, ce qui correspond au 7 janvier du calendrier grégorien et au solstice d'hiver du calendrier égyptien. Seule l'Église apostolique arménienne a conservé la date précise du 6 janvier comme jour de la fête de Noël.

Constituant avec Pâques une des grandes fêtes chrétiennes, Noël s'est progressivement chargé de traditions locales, mélanges d'innovations et de maintien de folklore ancien, au point de présenter l'aspect d'une fête profane populaire possédant de nombreuses variantes, dans le temps comme dans l'espace. L'association de la mémoire d'une naissance a facilité la place centrale prise par la famille dans le sens et le déroulement de cette fête. L'Église catholique romaine insiste par exemple sur cet aspect depuis l'instauration en 1893 de la fête de la Sainte Famille, le dimanche suivant le 25 décembre. Les cadeaux, sous forme d'étrennes, semblent être une réminiscence des cadeaux effectués lors des fêtes saturnales de décembre (strenae). Le don est présent dans de nombreuses traditions, comme celle de servir un repas au premier pauvre croisé au jour de Noël, ou dans l'exceptionnelle générosité des aumônes accordées aux mendiants à la sortie de l'office célébré durant la nuit de Noël. « La période de Noël, qui est très chargée cérémoniellement, possède une certaine intensité rituelle. Même si nous vivons fondamentalement dans une société marchande, il y a dans cet échange de cadeaux quelque chose qui est de l'ordre du don et qui est universel dans son principe: ils créent, maintiennent et consolident des liens ; ils constituent en quelque sorte une matrice du social.»

La popularité de cette fête a fait que Noël est devenu un patronyme et un prénom.

Le polo est un sport d'équipe équestre mettant aux prises deux équipes de quatre joueurs. Les joueurs attelés sur leurs montures marquent des points par la conduite d'une petit boule en plastique ou en bois blanc dans le but de l'équipe adverse à l'aide d'un maillet à long manche. Le sport traditionnel de polo se joue sur un large terrain à gazon mesurant jusqu'à 300 mètres de long.

Le jeu

Le principe est assez simple : deux équipes de quatre joueurs à cheval s'affrontent pour marquer le plus de buts ("goals") possibles. Pour cela, ils tapent à l'aide d'un maillet (en rotin manau et en bambou) une balle qu'ils doivent faire passer entre deux poteaux verticaux espacés de 7,50 m. Il n'y a pas de limite de hauteur pour marquer un goal. La balle est en plastique très dur, ou en bois. Elle doit faire 8,5 cm. Le terrain de polo est un grand terrain en gazon de 275 mètres de long sur 145 mètres de large. Le jeu se déroule généralement en 8 périodes dites les "chukkas" (en France 4 et 6 pour les gros tournois) de 7 minutes 30 chacune. La règle principale est que dès que la balle est en mouvement, aucun cavalier, celui qui a frappé en dernier la balle y compris, n'a le droit de franchir sa "ligne" (direction de la balle au moment où elle a été frappée pour la dernière fois).

Son histoire

Le polo est un sport équestre qui serait né à Babylone en Mésopotamie vers 2500 avant J-C. Les rois et reines d'Asie et d'Asie Mineure s'y adonnaient avec leur cour. Le polo, appelé Chaugan, fut d'abord une formation pour les unités de cavalerie, le plus souvent la garde du roi ou d'autres troupes d'élite. Pour les membres des tribus guerrières, qui jouaient avec pas moins de 100 unités de chaque côté, le jeu était une bataille miniature. À cette époque le polo est devenu un sport national en Iran, qui était joué intensivement par la noblesse. Bien entendu, la littérature persane et son art nous donnèrent les plus riches histoires du polo dans l'Antiquité. Ferdowsi, le célèbre poète-historien iranien, donne un certain de récits de tournois royaux dans son épopée du IXe siècle, le Shâh Nâmeh (l'épopée des Rois). Dans le premier récit, Ferdowsi idéalise un match international entre la force de Touran et les disciples de Siyāvash, un prince iranien de légendaire dès les premiers siècles de l'Empire ; le poète est éloquent dans son éloge des compétences de Siyavash sur le terrain de polo. Ferdowsi dit aussi de l'empereur sassanide Shapur II du IVe siècle qu'il a appris à jouer au polo alors qu'il n'avait que sept ans. La Place Naghsh-e Jahan à Ispahan est en fait un terrain de polo qui a été construit par le roi Abbas I au XVIIe siècle.

Les Britanniques fondèrent le premier club de polo à Silchar en 1859, dans l'Himalaya. Au XIXe siècle, ce sport fut introduit en Amérique par les colons britanniques. Le club de Hurlingham de Londres, en édicte le premier règlement. Actuellement le polo est pratiqué dans 77 pays. Mais en compétition professionnelle le polo est pratiqué seulement en Argentine, Uruguay, Brésil, France, Angleterre, Chili, Pakistan, Inde, Australie, Espagne, Canada, Mexique et Etats-Unis. L'Argentine a dominé ce sport tout au long de l'histoire. Les joueurs de polo argentins sont les plus avantagés au palmarès international. Le polo a été sport olympique en cinq opportunités : 1900, 1908, 1920, 1924 et 1936. La dernière équipe Championne Olympique a été la Sélection Argentine, médaille d'Or aux Jeux Olympiques de Berlin 1936. Ses joueurs historiques étaient Luis Duggan, Roberto Cavanagh, Andrés Gazzotti et Manuel Andrada. Grande famille du polo français depuis 1930. Jules François Macaire, son fils Jacques, ses petits-fils Lionel et Stéphane. Avec 8 de handicap, Lionel Macaire est considéré comme le meilleur joueur français de tous les temps.

La Fédération internationale de polo (FIP), fondée en 1983 et dont le siège se trouve à Beverly Hills en Californie, organise la Coupe du monde dont les matchs attirent chaque année des milliers de spectateurs. Le polo est apparu au programme des Jeux olympiques en 1900, 1908, 1920, 1924 et 1936. La Fédération Internationale de Polo a pour président Patrick Guerrand-Hermès depuis novembre 2005.

Et voilà ! C'est la Fin de notre Gazette ! D'ici les prochains jours paraitra celle du mois de janvier. Mais si c'est vrai héhé ! Alors à très vite !