PANCHO DE SORET

"Chérie, je ne vois pas pourquoi je t'ai payé sept ans de cours de danse pour que tu te tienne avec un dos courbé. Aller, et soit poli surtout !"

Je vous présente ma mère, une femme rigide, sévère, qui porte grande importance aux regards des autres. Pour elle, il y a trois choses qui content: L'argent, son métier d'avocate, et la bonne impression que faisait notre famille. Il est vrai que pour le dernier, elle avait bien travaillé. Nous habitions dans une petite banlieue, où notre famille était considéré comme l'une des plus honorable du Boulevard Majesty. Mais arrêtons de parler d'elle, c'est mon histoire que vous êtes venu écouter, et je conte bien vous la raconter. Mais pour sa, il faut que je me présente. Sidney Alyson Joyce. J'avais beaucoup de qualités (et de défauts, comme tous le monde, mais nous ne verons pas ce point la aujourd'hui) dont celle d'avoir un joli nom, en référence à la ville préféré de mon père, et un surnom assez classe, Triple Y. Il était bien mieux que le 'Jeannette' ou le 'Chemin de fer buccal' (dû à l'appareil dentaire) que mes amis avaient. J'étais aussi assez bonne élève, mais pas assez pour ma mère. Quand je lui avais ramené un Dix huit de moyenne au dernier trimestre, elle c'était contentait de dire 'Moi, j'avais dix neuf à ton âge'. J'avais aussi un beau visage, et j'avais fait un passage éclaire, mais marquant, dans le mannequinat professionnel, et la phrase tuante de ma mère fut cette fois 'Quand tu n'aura plus ce beau visage, que fera tu ?' Depuis, je m'étais résigné à l'idée qu'elle ne serait jamais fière de moi. Mais parlons plus tôt poney. Aujourd'hui, c'était mon premier jour dans le nouveau club que je fréquentais. Quand j'avais dis à ma mère que je voulais faire du cheval, elle m'avait de suite inscrite dans le meilleur club de la région. Elle croyait que je voulais apprendre le raffinement du dressage et sortir en compétition avec les meilleurs chevaux, mais je voulais juste un bon poney avec qui passer du temps. nous étions donc en route pour le club et elle gara la voiture sur le parking avant de sortir. Elle renifla une bouffé d'air avant de dire 'Cette odeur de cheval, ah ! J'espère qu'elle ne s'installera pas chez nous !' Elle me lança un regard, puis se mit à marcher en direction de l'écurie numéro trois. C'est la que j'avais rend des vous avec ma monitrice, mon poney, et d'autre enfants débutants. En entrant dans l'allée, ma mère vit un crottin au quel elle accorda le plus grand soin à passer le plus loins possible. 'Au prix auquel on paye les gens, ils pourraient passer le balais !' Perché sur ses louboutin, que je prenais plaisir à rebaptiser Long-boudin, elle parcouru l'endroit d'un regard dédaigneux. 'Maman, il faut dire aussi que venir à l'équitation avec des chaussure à deux mille euro, ce n'est pas une super idée.' 'Je t'ai demandé quelque chose ?' Vous l'avez remarqué, ma mère est un subtile mélange d'amour et de tendresse, non pardon, de mépris et de reproche. 'Ah, Sidney, nous t'attendions !' C'était une petite jeune femme qui m'avait appelé. Elle n'était pas toute fine, mais son visage était bien fait. je m'approcha, et j'eus à peine le temps de dire bonjour qu'elle enchaina tous de suite. 'Tu va monter Pancho. c'est un gentil poney. Viens je vais te le montrer' D'autre jeunes étaient déjà entrain de préparer leur monture. Je suivis ma monitrice, dont je ne savais pas encore le nom, jusqu'à une porte de box en bois dont les contours étaient peint en rouge vif. Sur la porte, en voyait écrit sur une ardoise 'PANCHO'. Je me mis sur la pointe des pieds pour regarder à l'intérieur. j'étais tellement petite, ma cousine de dix ans avait la même taille que moi. Il n'y a pas de mot pour décrire la joie que j'eus en découvrant le poney. Une magnifique boule de poil avec de grands yeux farceur et une tignasse d'ange. J'étais complétement sous le charme. La dame ouvrit la porte, elle mit un licol au poney et l'attacha au dehors de son box. 'Mais c'est une blague ? Un poney de soixante centimètres de haut pour ma fille ! Elle a besoin des meilleurs chevaux du club pour être la meilleure ! Je refuse qu'elle monte sur un canassons !" "ET bien tu devrais t'y habituer parce que c'est mon poney, et si j'ai envie de le prendre, tu ne m'en empêchera pas ! Papa, lui il m'aurait laissait faire ce que je veux !" Une expression de surprise mêlé à de l'incompréhension passa sur le visage de ma mère. Mon père, sa faisait deux ans maintenant qu'il était en fauteuil roulant, paralysé, ne pouvant même plus parler. Il communiquer avec nous par des clignements d'yeux. 'Je, je reviendrais plus tard, voir pendant que tu monte' Dit elle avant de partir. Je m'approcha de la tête du poney après avoir regarder ma mère partir, puis je lui dis bonjour, et je lui caressa la tête pendant qu'il me reniflait l'autre main. Il était tous doux, une peluche. Ensuite, je pris mes affaires de pansages, et je brossa le poney comme m'indiqua la monitrice. Cercle sur les parties charnues avec l'étrille, dans le sens du poil avec le bouchon, pareil avec la brosse douce. puis elle passe chez chacun faire un sabot, et nous devions faire les autre sous sa surveillance. Le plus compliquer était de prendre le pied, mais après, j'y arrivais sans problème. je démélla bien la crinière, puis je sella et brida avec l'aide de ma monitrice. Le jaune n'allait pas très bien à Pancho, il avait l'air d'un gros canari déplumé. 'Au faite, je m'appelle Estère' Dit la dame, puis nous partons en direction du manège, tous dans un état d'excitation.

Manège.

Je rentrais à l'écurie avec Pancho et ma mère. Elle ne l'avait pas dit, mais cela se voyait, elle avait décider de me laisser faire ce que je veux, et d'être toujours la pour moi. C'était un jour merveilleux pour moi, et peu être la fin de notre guerre. J'attachais le poney, et je lui retira la selle. Estère enleva le filet. Ma mère se proposa pour rapporter les affaires dans mon casier, et ja laissa faire, puis je fis un bon pansage au poney, pendant presque une demi heure. J'arrivais maintenant à prendre les sabots, même si la peur de me faire manger les fesses étaient la. De plus Pancho s'amuser à me grattouiller le dos des que j'étais tourné. Je trouvais cela tellement mignon, je n'arrêta pas de lui faire des câlins et des bisous, puis je dû le rentrer, et on partit en direction de la maison. Pancho aller me manquer.

Aujourd'hui, je venais toute seule m'occuper de Pancho. Je n'allais pas le monter ce matin. Je voulais juste le mettre au pré pendant la mâtiné, puis je lui donnerais une douche et je le rentrerais. Je commença par aller retrouver son box. C'était la première fois que je m'occupais toute seule d'un poney. Je lui mis le licol sans problème, et le petit Pancho n'arrêtait pas de me donner des cous de tête joyeux. L'ayant bien brosser hier, je décida de l'emmener tous de suite au pré sans pansage. De toute façon, il allait bien se salir. J'arrivais à conduire le petit chou sans peine, et je partis en direction du paddock.

Paddock.

Il était midi moins dix quand j'attachais le poney devant son box. Je voulais lui faire un petit pansage rapide. Je lui passa un cou de bouchon sur le corps et les crins, puis je cura soigneusement ses pieds. J'aimais bien ce poney qui donnait facilement ses sabots de fée. Puis, je les couvris d'une bonne couche de graisse noire comme me l'avait montrer une dame la veille. Ensuite, je l'emmena à la douche.

Douche.

Après la douche, je passa le couteau de chaleur sur ses parties charnues mouillés, puis je le rentra au box. Je lui retira le licol, repoussa la porte pour éviter les fugues, et je me laissa tomber à côté de lui. 'Je t'adore Pancho, tu le savais ?' Dis je en lui tendant une friandise. Il la mangea goulument, pendant que je lui caressais le chanfrein. Puis, je me releva, je le serra dans mes bras, et je quitta son box avec regret.

"Aller mon beau Pancho, dressage aujourd'hui !"

Dis je en ouvrant la porte du box. Je m'approcha du poney, et je lui grattouilla l'encolure, et je lui tendis une friandise. Maintenant, j'étais à l'aise avec les petits poney, mais ce n'était pas encore le cas avec les grands. j'arrivais à manier le petit Pancho sans problème. Se matin, il me donna de gros cou de tête dans l'épaule. 'Doucement mon petit…' Je lui mis le licol et je le sortis. je l'attachais à la porte de son box puis je commença à le brosser. Aujourd'hui était un grand jour; Je montais dans un nouveau cours. Bien sûr, dans celui la, je n'aurais pas le même niveau que les autres élèves qui on déjà le galop deux, mais j'avais bien l'attention de les rattraper. Je brossa rapidement le petit poney, et je le sella avec mes habituels affaires jaune clairs et crème, puis je partis rejoindre les autres.

Carrière.

Je revenais après notre séance d'une heure. J'avais passé un super moment. Je retira le filet, c'était la première fois que je le faisais toute seule, et je lui mis le licol. Je lui enleva la selle, et je le brossa rapidement avant de le rentrer. Je lui donna une friandise et je lui dis un gros bisou. 'Un bientôt mon amour.'

"Pancho, c'est notre dernier jour ensemble, t'inquiète pas, on a prévu quelques chose de sympa !"

J'ouvris la porte du box de Pancho, j'y entrais et mis un licol au poney. Je lui mis un licol avant de le sortir et de l'attacher pour le brosser. J'étais un petit peu en retard, je ne m’attardai donc pas sur le pansage. Je lui donna un petit cou de brosse rapidement, puis je le sella et le brida. Je lui mis des protections sur ses petites jambes boudinés, puis je partis en direction du manège.

Manège.

Je rentrais du manège avec Pancho. Il était déjà desseller, et je m'arrêta devant mon casier pour mettre mes affaires dedans pendant que le poney m'attendait sagement. Puis, je lui mis un licol et je l'attachais devant son box. Je le brossa longuement, m'occupant bien de c'est petit sabots, puis je l'emmena à la douche.

Douche.

Apparemment content de s'être fait doucher les membres, le poney était joyeux. Je décida de le rentrer tous de suite car le poney voulait manger son foin. Je lui enleva le licol et je le laissa tranquille. 'A bientôt Pancho, j'espère toi revoir.'