GERFAULT DU THOLME

J'entre dans les écuries, ma servaznte à roulettes à la main. Je m'arrête devant le box de Gerfault.

- Coucou mon beau !

Surpris, il fait volte face et hennis en couchant les oreilles.

- Holà !

Je baisse les yeux en lui murmurant des paroles apaisantes. Petit à petit, il se détend et baisse la tête. Mmmmm.... Avant de le monter, une petite séance de mise au point s'impose. J'entre doucement dans le box sans brusquerie pour ne pas effrayer le cheval. Petit à petit, je relève la tête. Il est toujours craintif et frémissant au moindre faux geste mais s'est détendu. Doucemnt, je lui carresse l'encolure, puis la tête. Petit à petit, au fur et a mesure qu'il se détend, je lui carresse tout le corps en le massant à moitié. Ca marche ! Il finit par apprecier ces gestes et à se détendre. Je lui donne alors une petite friandise parmis celles que j'avais prévu : Des friandises non-vitaminées, sans trop de calories. Juste bon pour son moral. Je le carresse et lui passe doucement le licol. Je le sort sans précipitation. Dpucement, je l'attache à un anneau dehors. Je prend mon bouchon souple pour le rassurer et qu'il ne s'inquiete pas avec un bouchon dur ou étrille. C'est ma veine, il est bien propre. Je le brosse juste très doucement en insistant très légerement sur les parties un peut sales. Ensuite, je range la bouchon et le carresse bien fort. Je prend le cure-pieds et le lui montre gentiment. Il le renifle. quand iol s'en désintéresse, je prend délicatement son pied. Il réchigne un peut mais je presiste et le garde le plus longtemps possible dans ma main. au bout de quelques secondes, il parvient à me l'arracher. Je le reprend immédiatement. Il essaye à nouveau de l'arracher mais, avec moins d'alant que tout de suite. Alors, je le lache plus rapidement. J'attend quelques secondes puis le reprend. Il tente juste très légerement de me le reprendre. Je le garde en main juste deux secondes. Je le reprend encore après cinq secondes. Cette fois ci, il n'essaye pas de le reposer par terre. Alors, moi, je le repose immédiatement et le félicite.

- Voilà, c'est bien là !

Je le carresse bien fort et prend délicatement le pied. Très rapidement, j'enlève le peut de saletées sous son sabot et le raccompagne jusuq'au sol. Je fais de même avec les trois autres sabots. Ensuite, je lui donne une friandise et le félicite.

- Voilà, comme ça ! C'est bien mon beau !

Je le carresse doucement. Je le détache et pars.